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Note moyenne de cet épisode: 19.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 1
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russel 
19.0
19.0
Et Ray repart pour un (septième) tour. Le série pourrait être, comme beaucoup d'autres à ce stade, totalement élimé et en fait absolument pas. Il semble rester aux showrunners encore tellement à raconter qu'il n'y a pas la place pour traîner la savate, tout est déroulé pied au plancher.
Le season premiere fait néanmoins office de transition, même si on semble définitivement installé à New York. Il s'agit de tourner une page avec l'héritage du passé. D'abord avec le grand départ en beauté de Mike (Voight prend sa retraite ?) qui ne manquera ni de panache, ni d'ironie avec cette fois-ci une baraka qui fait des infidélités. Jusqu'au bout on aura pu croire que l'animal allait se refaire la malle (porte du fourgon pénitencier qui s'ouvre). Jusqu'au bout, Ray et Mickey auront été dans l'antagonisme, demeurant irréconciliables malgré les conseils du psy. Ray aura beau pardonner les frasques de son père, il était néanmoins prêt à lui coller le meurtre du flic ripoux sur le dos. Ray parait néanmoins décidé à se reprendre en main et entreprendre une analyse avec un minimum de sérieux. Ca donne une évolution comportementale dans son boulot et son relationnel, mais compte tenu des embrouilles qui se présentent à l'horizon, il va devoir multiplier les exercices respiratoires. Dans l'immédiat Ray se contente de reprendre les affaires courantes, même si son business en cours avec Feratti est loin d'être anodin. Marrant le nouveau bureau avec l'indispensable Lena et Smitty la panique. Bridget confirme qu'elle en a fini avec sa période SJW et négocie un revirement spectaculaire pour s'inscrire plus dans la « tradition » familiale. Ca peut se comprendre avec tout ce qu'elle a encaissé.
Ray Donovan soigne sa modernité et sait toujours intégrer les faits de société contemporains dans son récit. Les stars des réseaux sociaux, nouvelles vedettes capricieuses, la médecine parallèle, nouvel espoir ou déconfiture pour un Terry dans la détresse. On aura fait le tour de la famille, nouveau job pour Bunchy en probation, petite apparition de Daryll et même l'inénarrable Tata Sandy fait acte de présence avec son godemichet. A ce stade de longévité qualitative, on n'est quand même pas loin des Sopranos dans la respectabilité télévisuelle (spécialement dans le développement des personnages). Je voudrais que toutes les séries soient comme celle-ci.
Le season premiere fait néanmoins office de transition, même si on semble définitivement installé à New York. Il s'agit de tourner une page avec l'héritage du passé. D'abord avec le grand départ en beauté de Mike (Voight prend sa retraite ?) qui ne manquera ni de panache, ni d'ironie avec cette fois-ci une baraka qui fait des infidélités. Jusqu'au bout on aura pu croire que l'animal allait se refaire la malle (porte du fourgon pénitencier qui s'ouvre). Jusqu'au bout, Ray et Mickey auront été dans l'antagonisme, demeurant irréconciliables malgré les conseils du psy. Ray aura beau pardonner les frasques de son père, il était néanmoins prêt à lui coller le meurtre du flic ripoux sur le dos. Ray parait néanmoins décidé à se reprendre en main et entreprendre une analyse avec un minimum de sérieux. Ca donne une évolution comportementale dans son boulot et son relationnel, mais compte tenu des embrouilles qui se présentent à l'horizon, il va devoir multiplier les exercices respiratoires. Dans l'immédiat Ray se contente de reprendre les affaires courantes, même si son business en cours avec Feratti est loin d'être anodin. Marrant le nouveau bureau avec l'indispensable Lena et Smitty la panique. Bridget confirme qu'elle en a fini avec sa période SJW et négocie un revirement spectaculaire pour s'inscrire plus dans la « tradition » familiale. Ca peut se comprendre avec tout ce qu'elle a encaissé.
Ray Donovan soigne sa modernité et sait toujours intégrer les faits de société contemporains dans son récit. Les stars des réseaux sociaux, nouvelles vedettes capricieuses, la médecine parallèle, nouvel espoir ou déconfiture pour un Terry dans la détresse. On aura fait le tour de la famille, nouveau job pour Bunchy en probation, petite apparition de Daryll et même l'inénarrable Tata Sandy fait acte de présence avec son godemichet. A ce stade de longévité qualitative, on n'est quand même pas loin des Sopranos dans la respectabilité télévisuelle (spécialement dans le développement des personnages). Je voudrais que toutes les séries soient comme celle-ci.
surtout en gestion de la colère, je sent que ça va me plaire