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Note moyenne de cet épisode: 14.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 1
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russel 
14.0
14.0
Il y avait encore des anciens protagonistes à téléporter de la première saison, c'est chose faite pour Michelle Yeoh version badass et l'ensemble de la tribu klingon. Pour les klingons ça vaut le plaisir de retrouver la somptueuse direction artistique de Bryan Fuller, mais ça nous réimpose aussi le peu convaincant Ash Tyler en mode hipster désormais. Et par extension l'idylle foireuse avec Michael Burnham (heureusement cette dernière a d'autres chats à fouetter).
Ca nous donne du coup deux segments menés en parallèle. Un chez les klingons en stabilité approximative et un côté Discovery. J'aime bien l'intrigue de l'ange rouge, mais on est condamné à se poser des questions sans avoir les réponses parce que Spock joue toujours l'arlésienne. Donc on brode avec des histoires secondaires d'amis imaginaires, de spore et de matière noire un peu bidons. L'espèce de désenvoutement de Tilly m'a laissé un peu interdit, c'était un peu grotesque. Autant visuellement c'est toujours aussi beau, autant les scénaristes se permettent des audaces toujours discutables qui ressemblent plus à des facilités scénaristiques pour aller du point A au point B sans avoir trop à se fouler. Par exemple l'histoire de l'espionnage du dignitaire klingon avec sa peinture sensorielle qu'il s'est collée sur la tronche et qui lui a permis d'apprendre pour le bébé de L'Rell c'était tellement du foutage de gueule tant ce n'est pas crédible. Et l'autre qui se regarde les mains parce qu'il ne se les ai pas lavées depuis, ah c'était naze quand même...
Il y a deux trois gugusses dans la salle d'écriture de Star Trek Discovery qui sont de vrais baltringues et il faudrait songer à les virer.
Ca nous donne du coup deux segments menés en parallèle. Un chez les klingons en stabilité approximative et un côté Discovery. J'aime bien l'intrigue de l'ange rouge, mais on est condamné à se poser des questions sans avoir les réponses parce que Spock joue toujours l'arlésienne. Donc on brode avec des histoires secondaires d'amis imaginaires, de spore et de matière noire un peu bidons. L'espèce de désenvoutement de Tilly m'a laissé un peu interdit, c'était un peu grotesque. Autant visuellement c'est toujours aussi beau, autant les scénaristes se permettent des audaces toujours discutables qui ressemblent plus à des facilités scénaristiques pour aller du point A au point B sans avoir trop à se fouler. Par exemple l'histoire de l'espionnage du dignitaire klingon avec sa peinture sensorielle qu'il s'est collée sur la tronche et qui lui a permis d'apprendre pour le bébé de L'Rell c'était tellement du foutage de gueule tant ce n'est pas crédible. Et l'autre qui se regarde les mains parce qu'il ne se les ai pas lavées depuis, ah c'était naze quand même...
Il y a deux trois gugusses dans la salle d'écriture de Star Trek Discovery qui sont de vrais baltringues et il faudrait songer à les virer.
