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Note moyenne de cet épisode: 8.0 / 20 (2)
Classement cette saison : 15
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angeldusta 
7.0
7.0
Episode nul a chier, sans le moindre intérêt. l'épisode qui ne sert a rien. comme l'a bien détaillé Russel, du très bas de gamme même pas distrayant.
russel
9.0
9.0
Arrivé à ce stade, c'est à dire proche de la fermeture annuelle, on devrait être en plein suspense. L'équipage du Discovery en mode sacrifice, projeté dans un futur incertain pour tenter de sauver l'univers, la tragédie à son sommet. Sauf qu'on sait très bien que 1) ils vont sauver l'univers puisqu'on a vu des séries Star trek qui se déroulaient après cette période 2) On pourrait rêver d'être enfin débarrassé de Burnham, mais il y a aura moyen de revenir au présent de Discovery puisque Spock va faire lui aussi le voyage et qu'on sait qu'ensuite il va faire équipe avec Kirk. Donc on s'en tape en fait. Pas besoin de nous infliger tous ces adieux interminables et lourdingues. Ca ne fonctionne pas. Rien ne fonctionne en règle générale dans ce show. Quand ils sont sur le point de faire péter le Discovery, jamais on n'est inquiet. Déjà on s'en tape du Discovery, seul l'Enterprise est sacré. Mais bon, vu que c'est le nom de la série et qu'il y a une saison 3, ils ne ne vont pas le rafiot et tout rebaptiser. Donc on a le décompte inutile qui bloque immanquablement juste avant la destruction du Discovery. Oh quelle surprise...
Et puis toujours des idées nazes, limite qui tiennent plus de la comédie tellement c'est décalé. Les parents adoptifs qui disent à Michael, non ne te sens pas obligée de te sacrifier pour sauver l'univers. Ben non surtout pas, il vaut mieux que l'univers soit ravagé et qu'ils meurent tous ensemble. La reine tatouée improbable (digne copine coconne de Tilly) qui synthétise le dilithium, mais rentre en transe devant deux boules de sorbet (bien plus difficiles à fabriquer). Stamets et Culber nous refont le coup du dépit amoureux en pleine situation de crise à bord, toujours aussi inapproprié. Le pire étant qu'ils font des projets pro alors que personne ne sait si le plan va marcher pour sauver l'univers, donc à ce stade inutile d'envoyer des CV et de tirer des plans sur la comète. Rien n'est plausible, c'est réellement écrit avec les pieds par quelqu'un qui n'est pas dedans. Je ne sais vraiment pas à quoi pensent les showrunners.
Non le seul suspense, c'est qu'on ne soit pas certain que Pike puisse bien se soustraire à sa destinée tragique consistant à finir très diminué en Robocop mal bricolé dans une boite de conserve. Et en même temps c'est tellement naze cette histoire de cristal temporel. C'est quand même franchement de la SF comme on en faisait dans les années 50. Deux bouts de ficelle, une sorte de mécano à la con et je te fais une catapulte temporelle. C'est tellement n'importe quoi... Mais on se dit que ça va passer, ils ont des beaux effets spéciaux.
Et puis toujours des idées nazes, limite qui tiennent plus de la comédie tellement c'est décalé. Les parents adoptifs qui disent à Michael, non ne te sens pas obligée de te sacrifier pour sauver l'univers. Ben non surtout pas, il vaut mieux que l'univers soit ravagé et qu'ils meurent tous ensemble. La reine tatouée improbable (digne copine coconne de Tilly) qui synthétise le dilithium, mais rentre en transe devant deux boules de sorbet (bien plus difficiles à fabriquer). Stamets et Culber nous refont le coup du dépit amoureux en pleine situation de crise à bord, toujours aussi inapproprié. Le pire étant qu'ils font des projets pro alors que personne ne sait si le plan va marcher pour sauver l'univers, donc à ce stade inutile d'envoyer des CV et de tirer des plans sur la comète. Rien n'est plausible, c'est réellement écrit avec les pieds par quelqu'un qui n'est pas dedans. Je ne sais vraiment pas à quoi pensent les showrunners.
Non le seul suspense, c'est qu'on ne soit pas certain que Pike puisse bien se soustraire à sa destinée tragique consistant à finir très diminué en Robocop mal bricolé dans une boite de conserve. Et en même temps c'est tellement naze cette histoire de cristal temporel. C'est quand même franchement de la SF comme on en faisait dans les années 50. Deux bouts de ficelle, une sorte de mécano à la con et je te fais une catapulte temporelle. C'est tellement n'importe quoi... Mais on se dit que ça va passer, ils ont des beaux effets spéciaux.
The Orville j'ai essayé, ça ne m'a pas convaincu. Et pourtant je lui ai laissé sa chance.
