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Note moyenne de cet épisode: 11.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 2
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russel 
11.0
11.0
Interminable pilote qui m'aura passablement assommé. Sweet Tooth s'adresse prioritairement aux enfants, j'ai bien conscience que je ne suis pas le coeur du public. Mais quand même, il ne se passe pas grand chose dans la mesure où l'on aura passé l'essentiel de la durée de l'épisode à glander dans la BAD du père de Sweet Tooth. Et pourtant l'effondrement du monde, car oui, c'est une histoire post apo pour les mômes, est servi en deux temps trois mouvements en ouverture, sans trop s'embarrasser. Pourquoi subitement des nouveaux nés se retrouvent mixés avec des animaux? On ne nous le dira pas (du moins pour l'instant). On nous spécifie néanmoins que c'est arrivé en même temps qu'une grosse grippe qui décime la population... Ca fait un peu foireux si à chaque fois qu'on veut justifier l'injustifiable on nous sert le covid. Surtout que le covid, les épidémies, personnellement j'ai ma dose.
L'épisode couvre en gros la petite enfance de Bambi (il est mélangé avec un daim). Le môme n'est pas génialissime, mais l'acteur est remplacé en grandissant. En face il y a Will Forte (assez calme pour une fois) pour jouer le Gepetto de service, car c'est en gros à ça que ça va vite se résumer dans le récit initiatique père fils. Limite pour le côté survivaliste j'ai même plus pensé à la franchise Hanna. Autant dire que rien ne surprend, c'est on ne peut plus convenu. Il y a juste le fait que le gamin, Gus, ressemble à Bambi et qu'on ne comprend pas pourquoi. En sachant que le môme a été relativement épargné avec ses oreilles et ses bois, parce qu'on a vu en début d'épisode que des bébés chimères se tapaient carrément un bec ou une truffe sur la face (ce qui pose plus de soucis de maquillage SFX).
Je me suis donc pas mal ennuyé, mais on comprend au bout du compte que le récit va enfin s'ouvrir sur le monde (du moins l'Amérique). Donc il reste à prouver que la série est plus inspirée dans un univers étendu. Je vais quand même trainer des pieds pour y retourner. Sachant qu'on est dans le format 8 épisodes que semble désormais affectionner Netflix. Donc le chemin à parcourir n'est pas infini non plus...
L'épisode couvre en gros la petite enfance de Bambi (il est mélangé avec un daim). Le môme n'est pas génialissime, mais l'acteur est remplacé en grandissant. En face il y a Will Forte (assez calme pour une fois) pour jouer le Gepetto de service, car c'est en gros à ça que ça va vite se résumer dans le récit initiatique père fils. Limite pour le côté survivaliste j'ai même plus pensé à la franchise Hanna. Autant dire que rien ne surprend, c'est on ne peut plus convenu. Il y a juste le fait que le gamin, Gus, ressemble à Bambi et qu'on ne comprend pas pourquoi. En sachant que le môme a été relativement épargné avec ses oreilles et ses bois, parce qu'on a vu en début d'épisode que des bébés chimères se tapaient carrément un bec ou une truffe sur la face (ce qui pose plus de soucis de maquillage SFX).
Je me suis donc pas mal ennuyé, mais on comprend au bout du compte que le récit va enfin s'ouvrir sur le monde (du moins l'Amérique). Donc il reste à prouver que la série est plus inspirée dans un univers étendu. Je vais quand même trainer des pieds pour y retourner. Sachant qu'on est dans le format 8 épisodes que semble désormais affectionner Netflix. Donc le chemin à parcourir n'est pas infini non plus...
