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Note moyenne de cet épisode: 14.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 4
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russel 
14.0
14.0
C'est quand même assez dingue le nombre de projets de séries consistant ces dernières années à nous raconter la fin de notre monde. Un peu comme si toute anticipation se résumait désormais essentiellement au No Future. Et c'est même inquiétant quand on voit que notre actualité rejoint la fiction. Je pense notamment à la récente coupure de courant en Espagne et au Portugal qu'on retrouve ici dans The Eternaut.
Sur le pilote très peu de nouveautés pour cette série, si ce n'est qu'elle nous vient cette fois-ci d'Argentine. Ce qui ne change pas grand-chose, l'action se déroulant dans un grand centre urbain (Buenos Aires). La catastrophe puise ses origines dans un déséquilibre soudain du magnétisme de la terre provoquant des anomalies climatiques. Rien de farfelu donc, excepté le fait que la neige qui se met à tomber est mortelle au moindre contact (ça méritera d'être un peu étayé quand même pour être validé). Le dispositif entraine logiquement du confinement et une ville qui devient fantôme et coupée de toute source d'énergie (on pense alors à la série Revolution). Une grande partie du pilote est consacrée à l'exposition des personnages. Là on rompt un peu avec le jeunisme pour réunir une bande de darons avec à sa tête l'inévitable Ricardo Darin, soit le Depardieu argentin. Pour le reste c'est assez routinier en termes d'apocalypse et de survie, mais au moins c'est étudié pour être plausible au niveau des actions des protagonistes sans tentatives de performances héroïques délirantes ou autres interactions défiant la logique. En cela c'est plutôt plaisant à suivre, même avec un gros sentiment d'être blasé sur le sujet.
Sur le pilote très peu de nouveautés pour cette série, si ce n'est qu'elle nous vient cette fois-ci d'Argentine. Ce qui ne change pas grand-chose, l'action se déroulant dans un grand centre urbain (Buenos Aires). La catastrophe puise ses origines dans un déséquilibre soudain du magnétisme de la terre provoquant des anomalies climatiques. Rien de farfelu donc, excepté le fait que la neige qui se met à tomber est mortelle au moindre contact (ça méritera d'être un peu étayé quand même pour être validé). Le dispositif entraine logiquement du confinement et une ville qui devient fantôme et coupée de toute source d'énergie (on pense alors à la série Revolution). Une grande partie du pilote est consacrée à l'exposition des personnages. Là on rompt un peu avec le jeunisme pour réunir une bande de darons avec à sa tête l'inévitable Ricardo Darin, soit le Depardieu argentin. Pour le reste c'est assez routinier en termes d'apocalypse et de survie, mais au moins c'est étudié pour être plausible au niveau des actions des protagonistes sans tentatives de performances héroïques délirantes ou autres interactions défiant la logique. En cela c'est plutôt plaisant à suivre, même avec un gros sentiment d'être blasé sur le sujet.
