J'ai constaté à postériori de la vision du 1er épisode que beaucoup de journalistes avaient vu les 4 premiers épisodes de la série et que même un correspondant sur un autre forum avait déjà vu les 8, j'imagine qu'il y a eu du leak quelque part. Mais est-ce une bonne chose...Se taper 4 voire 8 épisodes d'une série d'un coup avant de faire la critique peu donner à mon sens des critiques faites un peu à la va-vite car j'en soupçonne beaucoup de passer assez vite sur les épisodes. Parce que en fait The Penguin n'est pas vraiment une série passionnante en soi qui captive l'attention particulièrement. Pas de trucs de super héros, plutôt une "pure" série mafia, un peu comme Tulsa King en plus sérieux...enfin, Tulsa King ou tout autre série du genre. Le rythme d'un épisode par semaine me semble de bon aloi.
Chez Oz tous les chemins peuvent mener à Rome mais pas vraiment ceux prévus à la base. Oz veut absolument se mettre Sofia dans la poche mais celle-ci est rétive, les lèche bottines c'est pas son genre. Oz possède un sens de l'improvisation qui le met vraiment sur le fil du rasoir surtout quand son jeune acolyte merde salement sur le coup des diamants. Mais Oz va parvenir à s'en sortir au culot comme d'habitude mais perd les diamants convoités, ne parvient pas à se mettre Sofia dans la poche et manque de se faire pincer. Curieusement il ne dégomme pas son jeune acolyte et en cela il est un peu différent des autres, j'irai pas jusqu'à dire qu'il a de l'empathie pour son jeune élève mais certainement qu'il a du commettre lui aussi dans sa jeunesse des grosses bévues et qu'il sait ce que c'est d'être une sous merde du bas de l'échelle des mafieux.
Mais bizarrement le sort prend une tournure inattendue et les planètes semblent soudain s'aligner, c'était juste une histoire de chemins. Bien sûr toujours Farrell et Millioti (on dirait le chat de l'anime Alice au Pays des merveilles quand elle sourit) sont au dessus du lot et gâteau sur la cerise un petit rôle pour Theo Rossi.
"- Let's dance !"
Chez Oz tous les chemins peuvent mener à Rome mais pas vraiment ceux prévus à la base. Oz veut absolument se mettre Sofia dans la poche mais celle-ci est rétive, les lèche bottines c'est pas son genre. Oz possède un sens de l'improvisation qui le met vraiment sur le fil du rasoir surtout quand son jeune acolyte merde salement sur le coup des diamants. Mais Oz va parvenir à s'en sortir au culot comme d'habitude mais perd les diamants convoités, ne parvient pas à se mettre Sofia dans la poche et manque de se faire pincer. Curieusement il ne dégomme pas son jeune acolyte et en cela il est un peu différent des autres, j'irai pas jusqu'à dire qu'il a de l'empathie pour son jeune élève mais certainement qu'il a du commettre lui aussi dans sa jeunesse des grosses bévues et qu'il sait ce que c'est d'être une sous merde du bas de l'échelle des mafieux.
Mais bizarrement le sort prend une tournure inattendue et les planètes semblent soudain s'aligner, c'était juste une histoire de chemins. Bien sûr toujours Farrell et Millioti (on dirait le chat de l'anime Alice au Pays des merveilles quand elle sourit) sont au dessus du lot et gâteau sur la cerise un petit rôle pour Theo Rossi.
"- Let's dance !"