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ok, ok, ok... 1h30 qui aurait largement pu tenir dans 1 épisode de 45min et même moins, tant l'histoire était creuse et ridicule...
Donc intrigue, surtout romantique, ridicule, mauvaises interprétations, pas d'alchimie entre les acteurs, j'ai eu l'impression que Matthew Weiner s'était un peu perdu, dans le Paris de la carte postale notamment...
Je ne sais pas si j'aurais la patience de regarder tous les épisodes mais j'espère qu'il y a vraiment un lien avec la famille et tous les épisodes à la fin parce que sinon, on risque vraiment de rester sur une impression de foutage de gueule, de nous appâter avec du mystère et du scénario original pour nous servir ce qui ressemble à une mauvaise fiction française...
Donc intrigue, surtout romantique, ridicule, mauvaises interprétations, pas d'alchimie entre les acteurs, j'ai eu l'impression que Matthew Weiner s'était un peu perdu, dans le Paris de la carte postale notamment...
Je ne sais pas si j'aurais la patience de regarder tous les épisodes mais j'espère qu'il y a vraiment un lien avec la famille et tous les épisodes à la fin parce que sinon, on risque vraiment de rester sur une impression de foutage de gueule, de nous appâter avec du mystère et du scénario original pour nous servir ce qui ressemble à une mauvaise fiction française...
Pas certain que le simple lien familial des Romanoffs suffise pour imposer une unité au sein de cette nouvelle série de Matthew Weiner (et parvienne ainsi à nous faire oublier Mad Men accessoirement). Au visionnage de Violet Hour, j'ai eu le sentiment d'avoir affaire à un téléfilm de qualité correcte avec un casting de luxe. On n'est pas dans le niveau cinéma, on en a juste le format (90mn). Un histoire un peu bateau à base d'héritage qui louche sur la comédie de moeurs sans grande audace (même si à un moment donné l'opposition Marthe Keller / Inès Melab était musclée). Il y a un côté plaisant que l'ensemble se passe en France pour ce premier volet. Sans coller strictement à la tournée traditionnelle des spots monuments historiques, on conserve un Paris des beaux quartiers assez touristique, du moins qui correspond à la vision d'un américain de passage mais qui ne vit pas sur place. Même avec une incursion en banlieue qui reste bien lissée. J'aurais aimé un dénouement moins arrangeant, je n'ai pas eu le sentiment qu'il était question de bousculé le public...
Après la notation d'Alda, ça renvoie aux pires navets qui ne tiennent pas debout, ce qui n'est pas le cas de The Romanoffs non plus.