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Note moyenne de cet épisode: 13.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 1
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russel 
13.0
13.0
En attaquant le second segment de la collection The Romanoffs, il devient déjà possible d'établir des ponts entre les épisodes et d'entrevoir un peu ce que Weiner a voulu établir sur sa collection, sachant que The Royal We n'a aucune correspondance directe avec l'histoire précédente, on repart avec un casting neuf.
Pourtant il est toujours question de Romanoffs avec des double "f" voire même des "v" (je me demande si Anne Roumanoff peut être prise en compte?). Il y a cette croisière assez rigolote bien que très cliché qui induit une véritable cohésion de lignée. Cette famille russe éparpillée se réunit et a toujours son emblème (écusson qui est l'identité visuelle de la série). Il y a néanmoins un côté un peu ringard de la chose qui fait que les vrais intéressés ne font pas nécessairement le déplacement. C'est le cas pour Michael (Corey Stoll toujours parfait dans le rôle du nigaud de service) et de l'épouse de Ivan (Docteur Carter). On aurait pu limite retrouver les protagonistes de l'épisode passé à bord du paquebot, mais eux non plus n'étaient pas du genre croisière et solidarité familiale.
Car que ce soit Michael ou Greg, on retrouve la même déconnexion aux valeurs et cette même indécision dans son existence. Weiner du coup nous ressert un nouveau chassé croisé sentimental comme dans son premier épisode. On serait presque dans du Woody Allen en moins bavard, avec toujours une trame de base qui repose sur les mêmes éléments (couples mal assortis et donc adultère) et juste un assaisonnement qui diffère légèrement. En répétition ça va devenir un peu redondant?
Mon souci principal, c'est qu'en l'espace d'un épisode et malgré les 90mn de durée, j'ai du mal à sympathiser avec des personnages qui ne sont pas spontanément attachants. Michael est à baffer à la fin, il a d'ailleurs droit à sa correction. C'était déjà un peu le cas avec Greg. Je note que les personnages masculins ne sont pas déterminants et subissent plus qu'ils n'ont un impact, ce sont les nanas qui tiennent le volant dans une société moderne qui se féminise. En cela on tranche radicalement avec l'idéal masculin de Mad Men.
Pourtant il est toujours question de Romanoffs avec des double "f" voire même des "v" (je me demande si Anne Roumanoff peut être prise en compte?). Il y a cette croisière assez rigolote bien que très cliché qui induit une véritable cohésion de lignée. Cette famille russe éparpillée se réunit et a toujours son emblème (écusson qui est l'identité visuelle de la série). Il y a néanmoins un côté un peu ringard de la chose qui fait que les vrais intéressés ne font pas nécessairement le déplacement. C'est le cas pour Michael (Corey Stoll toujours parfait dans le rôle du nigaud de service) et de l'épouse de Ivan (Docteur Carter). On aurait pu limite retrouver les protagonistes de l'épisode passé à bord du paquebot, mais eux non plus n'étaient pas du genre croisière et solidarité familiale.
Car que ce soit Michael ou Greg, on retrouve la même déconnexion aux valeurs et cette même indécision dans son existence. Weiner du coup nous ressert un nouveau chassé croisé sentimental comme dans son premier épisode. On serait presque dans du Woody Allen en moins bavard, avec toujours une trame de base qui repose sur les mêmes éléments (couples mal assortis et donc adultère) et juste un assaisonnement qui diffère légèrement. En répétition ça va devenir un peu redondant?
Mon souci principal, c'est qu'en l'espace d'un épisode et malgré les 90mn de durée, j'ai du mal à sympathiser avec des personnages qui ne sont pas spontanément attachants. Michael est à baffer à la fin, il a d'ailleurs droit à sa correction. C'était déjà un peu le cas avec Greg. Je note que les personnages masculins ne sont pas déterminants et subissent plus qu'ils n'ont un impact, ce sont les nanas qui tiennent le volant dans une société moderne qui se féminise. En cela on tranche radicalement avec l'idéal masculin de Mad Men.
