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Note moyenne de cet épisode: 16.0 / 20 (1)
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russel 
16.0
16.0
Beaucoup aimé ce passage sur grand écran de l'icône des consoles Nintendo. Le studio Illumination (cocorico) me déçoit rarement. On sent que c'est une commande qui autorise peu d'audaces et que le géant japonais a exigé un truc qui cadre bien avec leur licence. Donc c'est exhaustif (Yoshi c'est pour la suite hélas comme exposé en post générique) et assez furieux au niveau du rythme, pas question de laisser le spectateur s'ennuyer 30 secondes. Et c'est ce qui fait du coup qu'on n'est pas non plus devant un chef d'oeuvre à la Pixar, car il manque ces grands moments de respiration pour que l'émerveillement s'épanouisse réellement. Mario ce n'est pas toujours frénétique. Je suis personnellement un gros fan de Super Mario Sunshine et il y a dedans des moments carrément bucoliques et c'est ce qui m'avait séduit à l'époque.
Mon reproche : Pourquoi avoir fait de Mario et Luigi des ados qui habitent encore chez leurs parents? Ca faisait un peu grotesque, ça ne collait pas avec les moustaches généreuses. Je ne pense pas qu'il était nécessaire de les juvéniliser autant pour conserver une atmosphère naïve.
Mon regret : Ils nous balancent des standards (Holding Out For a Hero de Bonnie Tyler...) dans la bande son comme si c'était indispensable, or j'aurais préféré une plus grosse place réservée aux thèmes fantastiques du jeu de Koji Kondo.
Mon coup de chapeau : pour Guillaume Aretos, à la tête de la production visuelle, qui est toujours au top depuis que je l'avais rencontré pour la sortie du tout premier Shrek. Sacrée carrière...
Mon reproche : Pourquoi avoir fait de Mario et Luigi des ados qui habitent encore chez leurs parents? Ca faisait un peu grotesque, ça ne collait pas avec les moustaches généreuses. Je ne pense pas qu'il était nécessaire de les juvéniliser autant pour conserver une atmosphère naïve.
Mon regret : Ils nous balancent des standards (Holding Out For a Hero de Bonnie Tyler...) dans la bande son comme si c'était indispensable, or j'aurais préféré une plus grosse place réservée aux thèmes fantastiques du jeu de Koji Kondo.
Mon coup de chapeau : pour Guillaume Aretos, à la tête de la production visuelle, qui est toujours au top depuis que je l'avais rencontré pour la sortie du tout premier Shrek. Sacrée carrière...
Pour ceux qui n'ont pas les références... La faiblesse du scénario rend le film peu digeste.