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Note moyenne de cet épisode: 12.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 1
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russel 
12.0
12.0
Sans parvenir à totalement me convaincre dans sa confection, je ne suis pas non plus scandalisé par ce qui nous est proposé dans Daryl Nixon dans la mesure où ça a l'avantage de trancher avec ce qui a déjà été fait et refait. En fait c'est très inégal selon ce qui est traité. C'était sympa de voir le début de l'apocalypse à Paris après en avoir été témoin en Georgie et en Californie. Même si le budget n'a pas permis de nous offrir du grandiose, c'était crédible. Une petite rue du IXème arrondissement, une station de métro (renvoyant presque à une sortie à Porte de la Chapelle avec accueil de crackheads), ça fonctionnait.
L'après effondrement demeure plus naïf et plus laborieux avec cette mission annexe pour remplacer un bourricot par un cheval de trait. Norman Reedus fait bien son job et n'a pas l'air trop perdu dans la campagne française, mais il y a un côté La Grande Vadrouille qui risque de déstabiliser le public international. Je me demande si ça peut marcher, aux USA notamment? L'action n'est quand même pas le fort de la série, on passe plus de temps à gérer du relationnel, ça s'épanche beaucoup. Du coup on se sent plus dans du Netflix France que dans du aMC US en terme de production. Il apparait que le môme plutôt insupportable soit spécial dans la mesure où il est né précisément au moment où sa mère tournait en zombie. Est-ce qu'il vont oser nous coller un équivalent de Ellie de The Last of Us? Ce serait un peu abusé...
La fin m'a navré avec Codron qui tombe sur la carte que les gentils ont laissé derrière eux, avec tout l'itinéraire pour être certains qu'ils puissent être biens suivis sans qu'on ne les perde. Et là on voit qu'il y a quand même un déficit d'écriture sur le show. C'est de la bricole, il y a des trous dans le script bouchés au sparadrap...
L'après effondrement demeure plus naïf et plus laborieux avec cette mission annexe pour remplacer un bourricot par un cheval de trait. Norman Reedus fait bien son job et n'a pas l'air trop perdu dans la campagne française, mais il y a un côté La Grande Vadrouille qui risque de déstabiliser le public international. Je me demande si ça peut marcher, aux USA notamment? L'action n'est quand même pas le fort de la série, on passe plus de temps à gérer du relationnel, ça s'épanche beaucoup. Du coup on se sent plus dans du Netflix France que dans du aMC US en terme de production. Il apparait que le môme plutôt insupportable soit spécial dans la mesure où il est né précisément au moment où sa mère tournait en zombie. Est-ce qu'il vont oser nous coller un équivalent de Ellie de The Last of Us? Ce serait un peu abusé...
La fin m'a navré avec Codron qui tombe sur la carte que les gentils ont laissé derrière eux, avec tout l'itinéraire pour être certains qu'ils puissent être biens suivis sans qu'on ne les perde. Et là on voit qu'il y a quand même un déficit d'écriture sur le show. C'est de la bricole, il y a des trous dans le script bouchés au sparadrap...
