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Note moyenne de cet épisode: 13.0 / 20 (1)
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russel 
13.0
13.0
Je n'en conservais tellement aucun souvenir depuis sa sortie en 2010, que je me suis revisionné le second épisode de la saga Tron. Et je comprends pourquoi j'ai totalement oublié l'histoire au delà de l'univers visuel et sonore orchestré par les Daft Punk. Le scénario est à peu près aussi indigent que celui de Ares. Tout juste l'histoire est un peu plus adulte dans sa profondeur (passement de témoin père fils) mais pour le reste c'est de la pure bricole plus ou moins compréhensible avec toujours ce côté magique de l'informatique qui autorise à régler n'importe quelle situation grâce à un super pouvoir d'une routine de code qu'on semble sortir tout droit de son cul. C'est dommage qu'ils ne parviennent pas à servir quelque chose de plus construit avec cette franchise, comme ce que d'autres ont pu faire avec Matrix (dans ses meilleurs moments). Là c'est trop la fête à la saucisse du tout est possible au pays des pixels. Je passe sur le fait que Quorra parvient à être extraite de la grid alors qu'ils galèrent encore plus tard dans la suite avec cet exercice.
Au delà de cela, je préfère Legacy à Ares pour sa production visuelle qui demeure splendide même 15 années passées. Il y a un côté sombre et angoissant dans cet environnement numérique qui est unique. On passe d'ailleurs l'essentiel du film dans le virtuel, visiblement Disney a voulu l'éviter dans Ares, pensant peut-être que c'est ce qui avait rebuté le public? J'ai préféré aussi l'interprétation avec des personnages plus complexes. Le Jeff Bridges jeune de synthèse, c'est un peu le maillon faible. Aucune expressivité, juste l'air à moitié abruti. Ils ont bien fait de ne conserver que le modèle réel de 76 piges dans la suite. D'ailleurs le heureux hasard fait que le jour du 4 décembre où j'écris cette critique, c'est l'anniversaire de Jeff Bridges, donc joyeux anniversaire Jeff !
Au delà de cela, je préfère Legacy à Ares pour sa production visuelle qui demeure splendide même 15 années passées. Il y a un côté sombre et angoissant dans cet environnement numérique qui est unique. On passe d'ailleurs l'essentiel du film dans le virtuel, visiblement Disney a voulu l'éviter dans Ares, pensant peut-être que c'est ce qui avait rebuté le public? J'ai préféré aussi l'interprétation avec des personnages plus complexes. Le Jeff Bridges jeune de synthèse, c'est un peu le maillon faible. Aucune expressivité, juste l'air à moitié abruti. Ils ont bien fait de ne conserver que le modèle réel de 76 piges dans la suite. D'ailleurs le heureux hasard fait que le jour du 4 décembre où j'écris cette critique, c'est l'anniversaire de Jeff Bridges, donc joyeux anniversaire Jeff !
