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L'ambiance est là , ou à peu pres. Elle se met en place en fait.
Tout est bon mais il manque quelque chose du coté des acteurs. Il me manque un personnage charismatique, il se dégagera peut être par la suite mais pour l'instant il manque cet acteur qui porte son role, qui mène la série et qui rend le tout bon.
Mis à part ce défaut qui pourrait devenir un handicap, la série est parfaite. Je pense qu'on va avoir une saison de haute volée, la femme flic est top, le flic ripou a du potentiel. Donc on pourrait avoir un truc bien.
A suivre
Tout est bon mais il manque quelque chose du coté des acteurs. Il me manque un personnage charismatique, il se dégagera peut être par la suite mais pour l'instant il manque cet acteur qui porte son role, qui mène la série et qui rend le tout bon.
Mis à part ce défaut qui pourrait devenir un handicap, la série est parfaite. Je pense qu'on va avoir une saison de haute volée, la femme flic est top, le flic ripou a du potentiel. Donc on pourrait avoir un truc bien.
A suivre
L'ambiance est toujours là ... à un détail près. L'univers noir de True Detective est intact mais je trouve que la série a (pour le moment) partiellement perdu la dimension mystique que Cole et ces meurtres bizarres apportaient. Plus de Cole et pas d'équivalent en vue pour cette saison 2 et le meurtre est intéressant mais 'arrive qu'en toute fin d'épisode...
Bref, c'est une introduction sympathique de ces personnages parfaitement portés par le casting mais True Detective devra faire mieux pour (me) convaincre sur la durée.
Bref, c'est une introduction sympathique de ces personnages parfaitement portés par le casting mais True Detective devra faire mieux pour (me) convaincre sur la durée.
Très attendu et donc un peu déçu.
Là où l'an dernier j'étais embarqué dans le truc dès les premières secondes, je vais devoir me résoudre à me creuser les méninges et m'accrocher pour suivre le reste. Il faudra pourtant oublier la saison 1, puisque de toute les manières on ne pourra jamais faire mieux.
Seuls 2 petits clins d'œils ( Farrel et son avocate //Rachel Mac Adams dans la voiture avec son collègue) viennent "remuer le couteau dans la plaie.
Comme l'a écrit Russel , Ellroy n'est pas très loin. Déjà que le Mad Dog s'est largement épanché sur les emprunts lors de la première salve. Tous les personnages sont des Lloyd Hopkins en puissance.
Des personnages bien (un peu trop ?) abimés , un flic véreux , un caïd en quête de respectabilité, un meurtre. L'histoire nous promets du lourd pour les semaines à venir.
Comme l'an dernier ,le casting est surprenant et judicieux.,les décors et la réalisation sont sans fautes. la chanson du générique reste dans la tête.
Là où l'an dernier j'étais embarqué dans le truc dès les premières secondes, je vais devoir me résoudre à me creuser les méninges et m'accrocher pour suivre le reste. Il faudra pourtant oublier la saison 1, puisque de toute les manières on ne pourra jamais faire mieux.
Seuls 2 petits clins d'œils ( Farrel et son avocate //Rachel Mac Adams dans la voiture avec son collègue) viennent "remuer le couteau dans la plaie.
Comme l'a écrit Russel , Ellroy n'est pas très loin. Déjà que le Mad Dog s'est largement épanché sur les emprunts lors de la première salve. Tous les personnages sont des Lloyd Hopkins en puissance.
Des personnages bien (un peu trop ?) abimés , un flic véreux , un caïd en quête de respectabilité, un meurtre. L'histoire nous promets du lourd pour les semaines à venir.
Comme l'an dernier ,le casting est surprenant et judicieux.,les décors et la réalisation sont sans fautes. la chanson du générique reste dans la tête.
Début honnête
Je viens de lire beaucoup de mes réflexions post-épisode dans la critique de Russel, donc je ne vais pas le répéter, je plussoie sur toutes ces remarquées avisées.
Un épisode conforme en tous points à ce que j'attendais au vu du casting et du synopsis. Bien aimé l'utilisation de la musique et la pertinence des paroles, en particulier le générique de début, même si ça peut s'avérer too much, je n'arrive pas à décider.
Justin Lin s'en sort mieux que je ne l'avais imaginé, même si comme prévu je regrette également son prédecesseur. Quant aux acteurs, ils sont là où on les attendait, pour l'instant pas transcendants, mais il faut voir où ça va aller. Marrant d'entendre Kelly Reilly avec un accent américain, elle est loin de la nerd de L'Auberge Espagnole.
Un peu déçu par le manque de fluidité au niveau de la narration, les passages passé-présent ainsi qu'entre les différents personnages ne me semblaient pas forcément inspirés, et ils étaient plus smooth sur le pilote, même s'il est vrai qu'il y avait moins de protagonistes. Un peu déçu également par la qualité relative des dialogues. Moins de panache, d'inventivité et de répliques "cultes" que dans l'épisode équivalent de la saison dernière. J'espère que Nic en a gardé sous la semelle pour le reste de la saison, mais évidemment je mets la barre très haut, il m'a vraiment impressionné l'année dernière.
Trois flics torturés, un gangster à l'aise, la donne est intéressante, maintenant il faut miser la bonne somme et réussir à tous nous bluffer, parce que si c'est juste pour checker, cette saison ne décollera jamais.
""He'll spit shoelaces?""
Je viens de lire beaucoup de mes réflexions post-épisode dans la critique de Russel, donc je ne vais pas le répéter, je plussoie sur toutes ces remarquées avisées.
Un épisode conforme en tous points à ce que j'attendais au vu du casting et du synopsis. Bien aimé l'utilisation de la musique et la pertinence des paroles, en particulier le générique de début, même si ça peut s'avérer too much, je n'arrive pas à décider.
Justin Lin s'en sort mieux que je ne l'avais imaginé, même si comme prévu je regrette également son prédecesseur. Quant aux acteurs, ils sont là où on les attendait, pour l'instant pas transcendants, mais il faut voir où ça va aller. Marrant d'entendre Kelly Reilly avec un accent américain, elle est loin de la nerd de L'Auberge Espagnole.
Un peu déçu par le manque de fluidité au niveau de la narration, les passages passé-présent ainsi qu'entre les différents personnages ne me semblaient pas forcément inspirés, et ils étaient plus smooth sur le pilote, même s'il est vrai qu'il y avait moins de protagonistes. Un peu déçu également par la qualité relative des dialogues. Moins de panache, d'inventivité et de répliques "cultes" que dans l'épisode équivalent de la saison dernière. J'espère que Nic en a gardé sous la semelle pour le reste de la saison, mais évidemment je mets la barre très haut, il m'a vraiment impressionné l'année dernière.
Trois flics torturés, un gangster à l'aise, la donne est intéressante, maintenant il faut miser la bonne somme et réussir à tous nous bluffer, parce que si c'est juste pour checker, cette saison ne décollera jamais.
""He'll spit shoelaces?""
Il y aura au moins un truc qu'on ne pourra pas enlever à cette deuxième saison de True Detective, c'est que c'est largement aussi sombre que la première. Ca et le fait que ça parle aussi forcément de detectives. Après ce qui saute aux yeux c'est que la structure est beaucoup plus complexe avec pas mal de segments qui finissent par se rejoindre avec la découverte de cadavre de Caspere qui manquait à l'appel depuis le début. C'était un peu attendu. La saison 1 était plus ramassée autour de deux personnages donc peut-être plus fulgurante. Là ça part un peu dans tous les sens. Mais peut-être que c'est juste pour l'intro de la saison, l'exposition des personnages.
Pour autant Pizzolatto, bien attendu au tournant, est loin d'être décevant dans ce qu'il propose. Je trouve qu'il y a une vraie maestria dans la façon d'introduire ses différents protagonistes et leurs failles. C'est évident dans la scène d'ouverture concernant Ray. En quelques plans on comprend qu'il a un gamin à problème, qui n'est pas de lui mais auquel il est très attaché, qu'il est divorcé, bien fracassé et passablement corrompu. Efficace. Ca fonctionne à peu près pareil pour les autres flics qui ont en commun d'être tous bien cramés de la tête. Ca promet une collaboration intéressante... Le personnage de Frank m'ennuie un peu plus avec ses histoires de magouilles. Toutes les scènes de soirée, bof. Même si c'est nécessaire pour l'histoire, là on est plus hors du concept de la série qui colle plus à l'investigation pure. En revanche on retrouve bien la vision désenchantée d'une Amérique profondément déshumanisée avec ces plans vue du ciel qui réduisent les personnages à des globules rouges circulant dans les artères de la ville. On a toujours un générique ultra léché, décliné selon le même concept de visuels composites, mais le tout adapté à la saison avec une tonalité chromatique et musicale plus conforme à la cote ouest.
Je trouve Farrell très bon et McAdams pas mauvaise. Vaughn très en retenue pour l'instant, Kitsch sait faire le chien fou, j'espère qu'on va lui en demander plus. Pour l'instant c'est plus les personnages par leur passif qui m'intriguent que le cas traité dans le présent. On devine assez bien pourquoi Caspere s'est fait dessouder vu le nombre de requins qui s'agitent dans la piscine de l'immobilier local.
Donc bonne ambiance assez Ellroy, je suis client en regrettant peut-être juste la réalisation de Fukunaga éventuellement plus inventive même si Justin Lin est loin de bâcler la chose.
"California is a brand new game"
Pour autant Pizzolatto, bien attendu au tournant, est loin d'être décevant dans ce qu'il propose. Je trouve qu'il y a une vraie maestria dans la façon d'introduire ses différents protagonistes et leurs failles. C'est évident dans la scène d'ouverture concernant Ray. En quelques plans on comprend qu'il a un gamin à problème, qui n'est pas de lui mais auquel il est très attaché, qu'il est divorcé, bien fracassé et passablement corrompu. Efficace. Ca fonctionne à peu près pareil pour les autres flics qui ont en commun d'être tous bien cramés de la tête. Ca promet une collaboration intéressante... Le personnage de Frank m'ennuie un peu plus avec ses histoires de magouilles. Toutes les scènes de soirée, bof. Même si c'est nécessaire pour l'histoire, là on est plus hors du concept de la série qui colle plus à l'investigation pure. En revanche on retrouve bien la vision désenchantée d'une Amérique profondément déshumanisée avec ces plans vue du ciel qui réduisent les personnages à des globules rouges circulant dans les artères de la ville. On a toujours un générique ultra léché, décliné selon le même concept de visuels composites, mais le tout adapté à la saison avec une tonalité chromatique et musicale plus conforme à la cote ouest.
Je trouve Farrell très bon et McAdams pas mauvaise. Vaughn très en retenue pour l'instant, Kitsch sait faire le chien fou, j'espère qu'on va lui en demander plus. Pour l'instant c'est plus les personnages par leur passif qui m'intriguent que le cas traité dans le présent. On devine assez bien pourquoi Caspere s'est fait dessouder vu le nombre de requins qui s'agitent dans la piscine de l'immobilier local.
Donc bonne ambiance assez Ellroy, je suis client en regrettant peut-être juste la réalisation de Fukunaga éventuellement plus inventive même si Justin Lin est loin de bâcler la chose.
"California is a brand new game"
Par contre le gros mystère pour moi c'est comment tu fais pour toujours te souvenir de tous les noms des personnages. À ce stade-là moi je ne sais pas qui s'appelle comment, si je ne vois pas le nom écrit quelque part ça rentre par une oreille et ça sort par l'autre, surtout qu'ils ne les ont pas prononcés beaucoup.