Je n'avais pas prévu de le noter, honteux d'avoir osé regardé ce film, dont je connaissais ma note avant même de l'avoir regardé.
En résumé, c'est le genre de film dont on aime parler après l'avoir vu pour démonter chacune des scènes absurdes qui s'y est déroulée.
Le summum reste la façon dont est présentée le contrôle de sécurité de l'aéroport de LA. Limite ça m'a même donné envie de m'y rendre pour voir si ça se passe réellement comme ça, tant c'est grotesque.
Sinon niveau histoire, je dirai que ça pouvait tenir la route durant la première 1h, mais finalement chaque décision devient vite incompréhensible et la dernière demi heure est en totale roue libre. On en rigole tellement c'est bête.
Connaissant bien Roissy CDG, j'ai eu le malheur de vouloir y faire des parallèles, et ça n'a fait qu'accentuer l'absurdité de chaque situation. Ça semble tellement facile de passer de la salle d'embarquement au hall d'enregistrement, puis dans le parking, avant de revenir sur le tarmac ! ^^
En résumé, c'est le genre de film dont on aime parler après l'avoir vu pour démonter chacune des scènes absurdes qui s'y est déroulée.
Le summum reste la façon dont est présentée le contrôle de sécurité de l'aéroport de LA. Limite ça m'a même donné envie de m'y rendre pour voir si ça se passe réellement comme ça, tant c'est grotesque.
Sinon niveau histoire, je dirai que ça pouvait tenir la route durant la première 1h, mais finalement chaque décision devient vite incompréhensible et la dernière demi heure est en totale roue libre. On en rigole tellement c'est bête.
Connaissant bien Roissy CDG, j'ai eu le malheur de vouloir y faire des parallèles, et ça n'a fait qu'accentuer l'absurdité de chaque situation. Ça semble tellement facile de passer de la salle d'embarquement au hall d'enregistrement, puis dans le parking, avant de revenir sur le tarmac ! ^^
Je connais les travers des films Netflix, mais bon j'aime bien la bonne bouille de Taron Egerton et Jaume Collet-Serra était naguère un jeune espoir du cinéma espagnol qui s'est égaré à Hollywood ces dernières années il est vrai. Il ne retrouvera d'ailleurs pas son chemin dans ce terminal. La faute à un script pourri pondu par l'IA de Netflix. On devine sans mal les prompts qu'ils ont pu balancer dans l'espoir de satisfaire leur abonné idéal. Un thriller jeu de piste façon Die Hard 3, mais sans gros musclé charismatique. Ethan Kopek est tout sauf une tête brulée. C'est le mec déconstruit qui essaye de satisfaire sa dulcinée intraitable et assez antipathique. Elle m'a d'ailleurs beaucoup fait penser à une sorte de Meghan Markle. Le héros figurant du coup un Harry assez équivalent. Le pauvre passe son temps à courir comme un dingo dans les couloirs de l'aéroport sans concrétiser de gros coups d'éclat, on est loin d'un Keanu Reeves dans Speed assurément.
L'histoire est bien évidemment complètement bidon, on s'en tape fatalement assez rapidement. Mais ce qui m'a bien fait rigoler, c'est que chaque situation critique est résolue de manière totalement ridicule. Le clou étant la façon dont Ethan se débarrasse du vilain. Tous les protagonistes sont des baltringues essentiellement là pour figurer l'inclusivité. On a du flic qui lance une recherche sur Wikipedia pour savoir ce qu'est le Novichok après avoir déjà googlelisé au pif un terme approximatif. La baisse du niveau pleinement assumée... Et nous spectateurs on est supposé être aussi débiles. L'IA a du le décréter après analyse d'un pannel...
Ah oui et puis le film est supposé réhabiliter le personnel de sécurité des aéroports. Vous savez ces gens un peu abusifs qui filtrent l'intimité de vos bagages, vous font vous déchausser, tout ça au nom de la lutte éternelle contre le terrorisme. Alors qu'on sait tous qu'à une époque ça n'existait pas, on pouvait prendre l'avion tranquillement. Mais bon les voyageurs sont des éternels capricieux qui se plaisent à râler sans arrêt. En gros Netflix nous dit qu'on est un peu cons. L'abonné de Netflix doit se laisser pourrir la vie par la société de surveillance sans broncher, parce que le contrôle généralisé à tout va qui vous met dans la peau d'un suspect, c'est sympa. La bonne humeur...
L'histoire est bien évidemment complètement bidon, on s'en tape fatalement assez rapidement. Mais ce qui m'a bien fait rigoler, c'est que chaque situation critique est résolue de manière totalement ridicule. Le clou étant la façon dont Ethan se débarrasse du vilain. Tous les protagonistes sont des baltringues essentiellement là pour figurer l'inclusivité. On a du flic qui lance une recherche sur Wikipedia pour savoir ce qu'est le Novichok après avoir déjà googlelisé au pif un terme approximatif. La baisse du niveau pleinement assumée... Et nous spectateurs on est supposé être aussi débiles. L'IA a du le décréter après analyse d'un pannel...
Ah oui et puis le film est supposé réhabiliter le personnel de sécurité des aéroports. Vous savez ces gens un peu abusifs qui filtrent l'intimité de vos bagages, vous font vous déchausser, tout ça au nom de la lutte éternelle contre le terrorisme. Alors qu'on sait tous qu'à une époque ça n'existait pas, on pouvait prendre l'avion tranquillement. Mais bon les voyageurs sont des éternels capricieux qui se plaisent à râler sans arrêt. En gros Netflix nous dit qu'on est un peu cons. L'abonné de Netflix doit se laisser pourrir la vie par la société de surveillance sans broncher, parce que le contrôle généralisé à tout va qui vous met dans la peau d'un suspect, c'est sympa. La bonne humeur...