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C'est jolie, la musique et l'atmosphere sont sympa et plutôt très fidèle à l'animé, mais la mayonnaise ne prend pas.
Rien ne semble naturel dans les dialogues et les situations. Je ne sais pas si ce sont les acteurs uniquement, mais en tout cas ils ne sont pas innocents à ce ressenti.
Encore une fois, le visuel est conforme aux personnages, mais que c'est plat dans l'interprétation.
ça fait très longtemps que j'ai vu l'animé, vu que ça date de l'année de sa sortie, il y a plus de 20 ans déja !!! A l'époque, j'avais adoré et c'était resté pendant longtemps une référence.
Le fait de connaitre le final n'aide sans doute pas à l'analyse de la série, car ça fait réchauffé.
Après 2 épisodes, la seule chose que j'ai bien aimé, ça reste le début du 2nd épisode avec les 2 animateurs. Je me suis vraiment retrouvé en face de l'animé et tout collait bien. Du coup ça fait un peu léger 2min sur 2h...
"See you space cowboy"
Rien ne semble naturel dans les dialogues et les situations. Je ne sais pas si ce sont les acteurs uniquement, mais en tout cas ils ne sont pas innocents à ce ressenti.
Encore une fois, le visuel est conforme aux personnages, mais que c'est plat dans l'interprétation.
ça fait très longtemps que j'ai vu l'animé, vu que ça date de l'année de sa sortie, il y a plus de 20 ans déja !!! A l'époque, j'avais adoré et c'était resté pendant longtemps une référence.
Le fait de connaitre le final n'aide sans doute pas à l'analyse de la série, car ça fait réchauffé.
Après 2 épisodes, la seule chose que j'ai bien aimé, ça reste le début du 2nd épisode avec les 2 animateurs. Je me suis vraiment retrouvé en face de l'animé et tout collait bien. Du coup ça fait un peu léger 2min sur 2h...
"See you space cowboy"
Adaptation en réel en demi teinte de la célèbre série animée japonaise. Pour ma part je n'ai dû voir qu'un anime de Cowboy Bebop, que j'avais plutôt apprécié. Ca s'inscrit typiquement dans la grande révérence des artistes nippons pour la culture occidentale, avec des inspirations puisées dans le western spaghetti ou le cinéma français avec des anti héros qui ne se prennent pas trop au sérieux (Cobra, Nicky Larson…).
On ouvre les festivités avec ce qui reste un stand alone qui autorise à présenter les personnages (des chasseurs de prime), leur environnement futuriste s'étendant à notre système solaire et à introduire un fil rouge (un méchant motivé pour pourrir la vie de Spike sur la saison). C'est honnête sans être délirant. La production est à niveau pour rendre crédible la dimension SF. Surtout dans la partie extérieure. Les huis clos c'est plus compliqué, la faute notamment à une photographique assez désastreuse. C'est en tout cas découpé de manière suffisamment nerveuse pour que je ne regarde pas ma montre, même si l'intrigue est loin de m'avoir retourné.
Mon gros souci, c'est le casting. Ca manque de comédiens endurcis. Pour pas mal de personnages, ça tient du cosplay. A commencer par le rôle principal de Spike incarné par John Cho. Le gars manque vraiment de charisme. Là où il devrait refléter du flegme, il semble plus emprunté qu'autre chose. Je ne suis pas parvenu à être épaté. Ca va mieux pour sa team. Mustafa Shakir a la stature pour se fondre dans le rôle massif de l'homme de main. Idem pour Daniella Pineda qui est idéale en Faye Valentine. Il y a un ton qui demande à s'affirmer. Ca viendra peut-être sur la longueur. L'humour par exemple est trop discret. La blague (connue) du mot de passe sur le poste de pilotage par exemple m'a fait marrer. Il en faudrait plus.
Donc pas une mécanique huilée, mais une série en rodage. Netflix a beau déverser la saison en une fois, je n'ai pas le besoin de binger.
On ouvre les festivités avec ce qui reste un stand alone qui autorise à présenter les personnages (des chasseurs de prime), leur environnement futuriste s'étendant à notre système solaire et à introduire un fil rouge (un méchant motivé pour pourrir la vie de Spike sur la saison). C'est honnête sans être délirant. La production est à niveau pour rendre crédible la dimension SF. Surtout dans la partie extérieure. Les huis clos c'est plus compliqué, la faute notamment à une photographique assez désastreuse. C'est en tout cas découpé de manière suffisamment nerveuse pour que je ne regarde pas ma montre, même si l'intrigue est loin de m'avoir retourné.
Mon gros souci, c'est le casting. Ca manque de comédiens endurcis. Pour pas mal de personnages, ça tient du cosplay. A commencer par le rôle principal de Spike incarné par John Cho. Le gars manque vraiment de charisme. Là où il devrait refléter du flegme, il semble plus emprunté qu'autre chose. Je ne suis pas parvenu à être épaté. Ca va mieux pour sa team. Mustafa Shakir a la stature pour se fondre dans le rôle massif de l'homme de main. Idem pour Daniella Pineda qui est idéale en Faye Valentine. Il y a un ton qui demande à s'affirmer. Ca viendra peut-être sur la longueur. L'humour par exemple est trop discret. La blague (connue) du mot de passe sur le poste de pilotage par exemple m'a fait marrer. Il en faudrait plus.
Donc pas une mécanique huilée, mais une série en rodage. Netflix a beau déverser la saison en une fois, je n'ai pas le besoin de binger.
Et puis, si madame arrive à aimer un peu la série, je pourrais lui montrer l'anime pour qu'elle voit vraiment ce que c'est qu'un très bon anime