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Note moyenne de cet épisode: 14.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 4
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Moyenne de la série : 97.1/100.
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14.0
14.0
The intergalactic song contest
Difficile de noter sans rentrer dans le détail et spoiler lourdement. Attention donc si vous n'avez pas encore regardé cet épisode.
Je reste mitigé. À vouloir trop en faire, l'essentiel passe à la trappe et le message n'est peut-être pas entendu pour ce qu'il devrait être.
On a donc le docteur et Belinda qui déboulent sur une station spatiale pour assister à une sorte d'Eurovision.
Malheureusement, l'événement est interrompu et on aura pas des masses de chansons (pour une fois que c'était justifié) car la station se fait hijacker par des « terroristes » qui sont en passe de décimer des trillions de personnes.
On apprend donc que leur motivation est la vengeance par rapport au sponsor de l'émission qui a ravagé leur planète pour du miel et opprime les autochtones.
Comme une grosse partie du public, le Docteur est propulsé dans une bulle de mavité à la frontière de l'espace profond, se retrouve congelé et revient à la vie après un message de Susan, sa petite fille, partie du temps de Hartnell, le 1er docteur.
Pourquoi? Comment? RTD n'étant pas du genre à s'embarrasser avec de telles convenances, on ne le saura pas.
Bref, retour sur la station et on commence à démêler le tout avec un petit passage par la case torture holographique. On aurait un Valeyard qui se prépare en coulisses que cela ne m'étonnerait pas. Bizarrement pour Belinda, ça passe crème la torture.
Sinon le Docteur fait encore un speech un peu badass (YAY!) et le méchant Kid n'en a cure (BOO!). Il commence à avoir un sérieux problème de crédibilité notre Time Lord.
Je passe sur les caméos de Rylan et Graham Norton pour sauter directement à la fin avec une nouvelle bigénération (eh Russell, c'était pas censé être ultra rare?) de Mme Flood en la Rani, parce que, parce que, parce que??? Aucune idée en fait. Et puis si elle a souffert de sa congélation et doit se régénérer, pourquoi le docteur n'est pas dans le même cas?
La terre a toujours disparu, les portes du Tardis explosent. La suite la semaine prochaine pour la première partie du season finale.
C'est dommage que le tout soit si fouillis.
L'épisode prend le parti d'un esprit camp assumé avec quand même des enjeux donc ça partait bien. En plus, la critique à peine voilée au conflit au Proche-Orient est couillue et ça aurait pu se suffire à soi-même.
Il y a même plein de bonnes idées, le miel pour Land of Milk and Honey, l'hologramme qui blesse (comme les images en temps de guerre), le nom Poppy (comme le bébé de la saison 1 aperçu aussi dans l'épisode précédent) qui revient et fait penser aux coquelicots, premiers trucs à repousser sur un champ de bataille, mais pourquoi diable avait t'il d'y rajouter Susan et la Rani (via une bigénération de surcroît), deux monolithes dans le lore de la série?
RTD devrait arrêter de jeter des choses intrigantes ou mystérieuses en l'air, se dire « ça passe » et voir s'il arrive à rattraper le tout en fin de saison. Je sais bien que les saisons réduites sont certainement plus dures à scénariser à cause du manque de temps mais les arcs de Moffatt étaient quand même mieux construits.
Difficile de noter sans rentrer dans le détail et spoiler lourdement. Attention donc si vous n'avez pas encore regardé cet épisode.
Je reste mitigé. À vouloir trop en faire, l'essentiel passe à la trappe et le message n'est peut-être pas entendu pour ce qu'il devrait être.
On a donc le docteur et Belinda qui déboulent sur une station spatiale pour assister à une sorte d'Eurovision.
Malheureusement, l'événement est interrompu et on aura pas des masses de chansons (pour une fois que c'était justifié) car la station se fait hijacker par des « terroristes » qui sont en passe de décimer des trillions de personnes.
On apprend donc que leur motivation est la vengeance par rapport au sponsor de l'émission qui a ravagé leur planète pour du miel et opprime les autochtones.
Comme une grosse partie du public, le Docteur est propulsé dans une bulle de mavité à la frontière de l'espace profond, se retrouve congelé et revient à la vie après un message de Susan, sa petite fille, partie du temps de Hartnell, le 1er docteur.
Pourquoi? Comment? RTD n'étant pas du genre à s'embarrasser avec de telles convenances, on ne le saura pas.
Bref, retour sur la station et on commence à démêler le tout avec un petit passage par la case torture holographique. On aurait un Valeyard qui se prépare en coulisses que cela ne m'étonnerait pas. Bizarrement pour Belinda, ça passe crème la torture.
Sinon le Docteur fait encore un speech un peu badass (YAY!) et le méchant Kid n'en a cure (BOO!). Il commence à avoir un sérieux problème de crédibilité notre Time Lord.
Je passe sur les caméos de Rylan et Graham Norton pour sauter directement à la fin avec une nouvelle bigénération (eh Russell, c'était pas censé être ultra rare?) de Mme Flood en la Rani, parce que, parce que, parce que??? Aucune idée en fait. Et puis si elle a souffert de sa congélation et doit se régénérer, pourquoi le docteur n'est pas dans le même cas?
La terre a toujours disparu, les portes du Tardis explosent. La suite la semaine prochaine pour la première partie du season finale.
C'est dommage que le tout soit si fouillis.
L'épisode prend le parti d'un esprit camp assumé avec quand même des enjeux donc ça partait bien. En plus, la critique à peine voilée au conflit au Proche-Orient est couillue et ça aurait pu se suffire à soi-même.
Il y a même plein de bonnes idées, le miel pour Land of Milk and Honey, l'hologramme qui blesse (comme les images en temps de guerre), le nom Poppy (comme le bébé de la saison 1 aperçu aussi dans l'épisode précédent) qui revient et fait penser aux coquelicots, premiers trucs à repousser sur un champ de bataille, mais pourquoi diable avait t'il d'y rajouter Susan et la Rani (via une bigénération de surcroît), deux monolithes dans le lore de la série?
RTD devrait arrêter de jeter des choses intrigantes ou mystérieuses en l'air, se dire « ça passe » et voir s'il arrive à rattraper le tout en fin de saison. Je sais bien que les saisons réduites sont certainement plus dures à scénariser à cause du manque de temps mais les arcs de Moffatt étaient quand même mieux construits.
Prévisible le Russell.
Par contre, J'ADORE Archie Panjabi, tellement fan d'elle dans The Good Wife