Tellement insipide, avec un script cartographié par des marketeux, qu'on ne peut même pas trouver ça fondamentalement mauvais. C'est juste sans intérêt. Mon gros souci étant que j'ai autant de mal à adhérer à une version familiale des Ghostbusters qu'à la précédente féministe. Le fait d'aller chasser des fantômes supposés dangereux avec ses mômes, ça désamorce tellement chaque séquence. Bon et puis désormais ils nous collent même des ados chez les scientifiques, ok, ils veulent tabler sur un nouveau public + les anciens des débuts, les fameux nostalgiques des 80's, avec Aykroyd et Murray qui viennent cachetonner en faisant le minimum syndical absolu. On colle le glouton gluant et vert + les marshmallow men désormais exaspérant en resucée de mignons parce que c'est obligé pour les fans. Et puis une nouvelle divinité à abattre. Celle-ci fait de la glace, tellement insuffisant pour éviter l'ennui. Jamais surprenant, jamais drôle, jamais inquiétant. Juste du rien, ou du tellement pas grand chose.
Second volet du revival de la franchise des années 80, je ne compte pas le volet girly de 2016 qui était complètement claqué.
Ici ce n'est guère mieux, on est dans le fan service à outrance que ça aurait été difficile de faire encore plus. Il ne manquait que Gozer utilisé dans le précédent volet, Rick Moranis ou Sigourney Weaver pour avoir la totale.
ça joue peut être sur le fait qu'on ne regarde plus ce genre de film avec des yeux d'enfant (j'avais 7 ans en 1984) et donc 40 ans plus tard, on est nettement moins émerveillé par un film.
Même l'esprit des films des années 80 y est avec les symboliques à 2 balles, comme la scène de fin où la nouvelle et la vieille génération se partage le boulot pour en finir avec le vilain.
Le film précédent était bien meilleur et jouait avec la nostalgie avec le bon dosage. Ici c'est l'overdose avant la moitié du film et ça en gâche une bonne partie.
Ici ce n'est guère mieux, on est dans le fan service à outrance que ça aurait été difficile de faire encore plus. Il ne manquait que Gozer utilisé dans le précédent volet, Rick Moranis ou Sigourney Weaver pour avoir la totale.
ça joue peut être sur le fait qu'on ne regarde plus ce genre de film avec des yeux d'enfant (j'avais 7 ans en 1984) et donc 40 ans plus tard, on est nettement moins émerveillé par un film.
Même l'esprit des films des années 80 y est avec les symboliques à 2 balles, comme la scène de fin où la nouvelle et la vieille génération se partage le boulot pour en finir avec le vilain.
Le film précédent était bien meilleur et jouait avec la nostalgie avec le bon dosage. Ici c'est l'overdose avant la moitié du film et ça en gâche une bonne partie.
La version girl était quand même sympa j'ai trouvé, je sais que beaucoup l'aime pas,mais je sais pas,y'a un truc qui fait que j'accroche bien.