Créer sujet
Note moyenne de cet épisode: 15.5 / 20 (2)
Classement cette saison : 10
Inscrivez-vous et identifiez-vous pour donner votre avis.
|
Voir tous les épisodes
pinkman 
15.0
15.0
On est toujours dans du bon, j'aime beaucoup les scènes Francis/Zoe, deux malins, de bonnes répliques et je ne me lasse pas des regards vers la caméra de Spacey.
Francis continue de maîtriser, il impose ses idées et surtout Russo, c'était pas gagné vu le passé du client et son côté un peu impulsif. Plus que de simples apparitions pour Doug, on creuse un peu le perso. Marrant le vice-président qui est mis de côté et qui rêve dans son coin.
Ca fonctionne bien, c'est propre et on attend toujours la suite impatiemment.
Francis continue de maîtriser, il impose ses idées et surtout Russo, c'était pas gagné vu le passé du client et son côté un peu impulsif. Plus que de simples apparitions pour Doug, on creuse un peu le perso. Marrant le vice-président qui est mis de côté et qui rêve dans son coin.
Ca fonctionne bien, c'est propre et on attend toujours la suite impatiemment.
russel
16.0
16.0
A la place de Russo je commencerais à me faire du souci. Être pris sous l'aile de Francis ce n'est pas forcément une aubaine, c'est plus devenir la simple pièce d'un puzzle qui le dépasse. Toujours des moments irrésistibles, notamment la distribution de bons points par le président.
Bien de distribuer enfin une intrigue à Doug Stamper permettant de développer un peu le personnage. On sent le gars qui en a bavé et qui a été biberonné à la méthode Francis (quand il repose deux fois la question sur l'identité de la pute, n'ayant pas eu la vérité la première, sa confession aux AA).
Pas un signe de fatigue scénaristique en vue, on maintient le cap.
Bien de distribuer enfin une intrigue à Doug Stamper permettant de développer un peu le personnage. On sent le gars qui en a bavé et qui a été biberonné à la méthode Francis (quand il repose deux fois la question sur l'identité de la pute, n'ayant pas eu la vérité la première, sa confession aux AA).
Pas un signe de fatigue scénaristique en vue, on maintient le cap.
