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Notre Elliot simple personnage de comics d'un petit bourge geek qui s'ennuie un peu parfois, comme Mr Robot était le fruit de l'imagination de l'Elliot comics, du moins de son esprit fragmenté par la schizophrénie. Le souci c'est que ça survient tard, que si on le prend pour argent content, ça n'a plus trop d'importance puisque tout ce qui aurait précédé n'aurait servi à rien (Darlene, etc...). Oubliée la révolution.
Après l'épisode était soigné dans son traitement, Rami Malek est toujours impeccable dans ce rôle qui lui collera longtemps à la peau. Il y avait ce côté malaisant quand Elliot semblait totalement stone en découvrant cette existence alternative sans que cela n'alarme véritablement ses proches. Ce qui fait par ailleurs douter du caractère concret de cette nouvelle réalité, parce qu'il semble tellement désorienté que le mieux aurait été de le faire interner. Et peu importe puisqu'il s'agit à priori désormais de jouer aux poupées russes en un exercice un peu vain car trop tardif à mon sens...
Après l'épisode était soigné dans son traitement, Rami Malek est toujours impeccable dans ce rôle qui lui collera longtemps à la peau. Il y avait ce côté malaisant quand Elliot semblait totalement stone en découvrant cette existence alternative sans que cela n'alarme véritablement ses proches. Ce qui fait par ailleurs douter du caractère concret de cette nouvelle réalité, parce qu'il semble tellement désorienté que le mieux aurait été de le faire interner. Et peu importe puisqu'il s'agit à priori désormais de jouer aux poupées russes en un exercice un peu vain car trop tardif à mon sens...
On voit l'autre coté de l'histoire, notre Elliot qui se réveille sur le site de la centrale, mais celle-ci n'existe pas. Il est dans ce monde idéal que l'on a vu dans l'épisode précédent, mais il est toujours lui, avec son passé traumatisant et ce que l'on connait de sa vie, Mr Robot n'est plus et il recommence à nous parler à nous, ses "amis", comme en saison 1, et il entre petit à petit dans une vie qui n'est pas la sienne, jusqu'à l'inévitable rencontre. Il est le démon de l'Elliot de cette réalité.
On ne sait pas vraiment si on est dans la tête d'Elliot, que cette version heureuse de lui est cette autre personnalité, probablement, qu'ici il fait le choix métaphorique de tuer ce qu'il lui reste d'espoir d'être heureux, où en tous les cas comment il l'idéalisait, ses dernières illusions d'une vie normale, de qui il aurait pu être, pour pouvoir pleinement être qui il est, et enfin commencer à vivre ? C'était assez fantastique et troublant, d'ère inclus comme ça dans sa narration, jusqu'à ce qu'il nous disent de regarder ailleurs.
Petit détails qui montre à quel point Esmail est un perfectionniste, toutes les voitures que l'on voit dans cet épisode étaient blanches.
"I didn't have a choice."
On ne sait pas vraiment si on est dans la tête d'Elliot, que cette version heureuse de lui est cette autre personnalité, probablement, qu'ici il fait le choix métaphorique de tuer ce qu'il lui reste d'espoir d'être heureux, où en tous les cas comment il l'idéalisait, ses dernières illusions d'une vie normale, de qui il aurait pu être, pour pouvoir pleinement être qui il est, et enfin commencer à vivre ? C'était assez fantastique et troublant, d'ère inclus comme ça dans sa narration, jusqu'à ce qu'il nous disent de regarder ailleurs.
Petit détails qui montre à quel point Esmail est un perfectionniste, toutes les voitures que l'on voit dans cet épisode étaient blanches.
"I didn't have a choice."
Il a noté tous les épisodes de la saison après les avoir vus. Donc là c'est juste son avis après avoir vu cet épisode, c'est normal.