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Note moyenne de cet épisode: 11.0 / 20 (1)
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russel 
11.0
11.0
Il y a toujours de l'audace à vouloir se frotter à de la SF du block de l'est quand on est planté à Hollywood. Ca ne donne pas forcément des résultants sidérants dans la mesure où ce Spaceman m'a à peu près autant ennuyé que le Solaris de Soderbergh. On se doute qu'on n'est pas dans la guerre des étoiles pour en coller plein la vue, mais la parabole du gars qui doit voyager aux confins de l'infini, jusqu'à l'origine du monde parce qu'il est trop con pour piger que l'essentiel de son existence se situe aux côtés de sa femme enceinte sur terre, c'est un peu naze, du moins léger en enseignements.
Là dessus on lui colle dans le cockpit un E.T. en forme d'araignée, (bien) doublé par Paul Dano. Le truc est trop improbable pour projeter de grandes considérations. Sachant qu'en face on a Adam Sandler qui essaye de ne pas jouer la comédie, mais d'être sérieux, donc passablement inexpressif... L'odyssée post 2001 n'est donc pas transcendante, pas plus que la dose de métaphysique qu'on souhaiterait pourtant bien nous livrer. Passablement chiant et décevant. J'ai encore préféré Interstellar dans le même registre..
Là dessus on lui colle dans le cockpit un E.T. en forme d'araignée, (bien) doublé par Paul Dano. Le truc est trop improbable pour projeter de grandes considérations. Sachant qu'en face on a Adam Sandler qui essaye de ne pas jouer la comédie, mais d'être sérieux, donc passablement inexpressif... L'odyssée post 2001 n'est donc pas transcendante, pas plus que la dose de métaphysique qu'on souhaiterait pourtant bien nous livrer. Passablement chiant et décevant. J'ai encore préféré Interstellar dans le même registre..
J'étais tenté...mais bon, je le laisse de côté au cas où.
