Il y a donc un caillou dans les lentilles de The Joining et Carol l'aura localisé dés le 4ème épisode, ce qui est plutôt bien pour maintenir l'intérêt de Pluribus. Les fourmis sont serviables, mais elles privilégient la survie de la communauté à leur seule nature servile. Pourtant ils sont quand même prêts à filer à Carol une bombe atomique, ce qui peut quand même aussi compromettre le projet. Mais le secret pour inverser le processus d'unification de l'humanité, pas question. Et c'est rigolo que ce soit encore la pauvre Zosia, à peine remise de sa grenade, qui morfle lors de la tentative de Carol pour obtenir le secret. C'est vraiment la machine à prendre des coups. Au départ je ne comprenais pas trop où Carol souhaitait aller avec son histoire d'héroïne, c'était un peu fastidieux dans les démarches, mais c'est une tradition chez Gilligan, il adore détailler la marche à suivre, ça tient de la maniaquerie.
Ca va être donc compliqué pour se sortir de ce merdier, mais en revanche on nous ouvre des perspectives avec le fameux sud américain non converti, précédemment évoqué au bout du fil; qui nous est présenté en intro. Le gars a l'air encore plus réfractaire que Carol et particulièrement déterminé (bouffe de chien). Le temps qu'il s'extraie de sa retraite et il devrait pouvoir filer un coup de main à Carol en évitant de la laisser seule face à un mur.
Le reste est assez admirable, ça fourmille de petites allusions cocasses, comme ce maire qui a perdu toute distinction liée à sa fonction. Cet univers demeure toujours aussi fascinant et effrayant à la fois. J'ai ce sentiment qu'on a gagné énormément d'avantages avec ce progrès, mais qu'on y a perdu aussi l'essentiel qui fait le sel de la vie. On peut vraiment tirer un parallèle avec la propagation de l'IA notamment.
Ca va être donc compliqué pour se sortir de ce merdier, mais en revanche on nous ouvre des perspectives avec le fameux sud américain non converti, précédemment évoqué au bout du fil; qui nous est présenté en intro. Le gars a l'air encore plus réfractaire que Carol et particulièrement déterminé (bouffe de chien). Le temps qu'il s'extraie de sa retraite et il devrait pouvoir filer un coup de main à Carol en évitant de la laisser seule face à un mur.
Le reste est assez admirable, ça fourmille de petites allusions cocasses, comme ce maire qui a perdu toute distinction liée à sa fonction. Cet univers demeure toujours aussi fascinant et effrayant à la fois. J'ai ce sentiment qu'on a gagné énormément d'avantages avec ce progrès, mais qu'on y a perdu aussi l'essentiel qui fait le sel de la vie. On peut vraiment tirer un parallèle avec la propagation de l'IA notamment.














