Honnête mais sans enthousiasme
Une bio longuette surtout qu'elle a une durée conséquente autant centré sur la star de rock que sur son manager le Colonel Parker qui permet à Tom Hanks de montrer qu'il peut exceller en rôle de crevure. Mon manque d'adhésion s'explique par deux facteurs :
1/ Baz Luhrmann. Je ne suis pas trop fan de ses films que j'associe plus à des gros collages un peu hasardeux et avec Elvis il ne change pas sa recette mais au contraire la revendique bien fort, notamment dans le mélange des genres et des époques. C'était surprenant dans Romeo + Juliet, ça avait commencé à me gonfler avec Moulin Rouge. Là il nous colle du rap dans la bande son, moi ça m'a gavé, il a vraiment peur de ne pas être dans le coup? Toujours ce côté gros show baroque un peu encombrant qui tourne à vide. Son remake de Gatsby ne m'aura jamais fait oublier l'adaptation initiale de Fitzgerald avec Redford.
2/ Austin Butler. Tout le monde en fait des montagnes, je n'ai pas réussi à l'envisager en Elvis. Eventuellement jeune en plissant des yeux, genre Alain Delon de loin. Mais plus vieux il ne tenait plus le choc, trop minot. Elvis c'est une belle gueule mais plus massive. Kurt Russel dans le téléfilm de John Carpenter m'avait plus convaincu en son temps. Tout comme une réalisation sobre par ailleurs. Parce que les fanfreluches de la mise en scène Luhrmann, ça écrase pas mal toute introspection du personnage.
C'est le genre de film qui défile sans véritable halte avant le décès pour clore le spectacle. Sans causer aucune empathie alors que j'ai plutôt de la sympathie pour le King. C'est trop artificiel. Même les débuts avec B.B. King ou Little Richard, ça ne faisait pas root. Mais comme tout ce que fait le cinéaste quoi. Son Paris de Moulin Rouge ne vaut rien. Il vaut mieux revoir French Cancan avec Gabin, etc...
Une bio longuette surtout qu'elle a une durée conséquente autant centré sur la star de rock que sur son manager le Colonel Parker qui permet à Tom Hanks de montrer qu'il peut exceller en rôle de crevure. Mon manque d'adhésion s'explique par deux facteurs :
1/ Baz Luhrmann. Je ne suis pas trop fan de ses films que j'associe plus à des gros collages un peu hasardeux et avec Elvis il ne change pas sa recette mais au contraire la revendique bien fort, notamment dans le mélange des genres et des époques. C'était surprenant dans Romeo + Juliet, ça avait commencé à me gonfler avec Moulin Rouge. Là il nous colle du rap dans la bande son, moi ça m'a gavé, il a vraiment peur de ne pas être dans le coup? Toujours ce côté gros show baroque un peu encombrant qui tourne à vide. Son remake de Gatsby ne m'aura jamais fait oublier l'adaptation initiale de Fitzgerald avec Redford.
2/ Austin Butler. Tout le monde en fait des montagnes, je n'ai pas réussi à l'envisager en Elvis. Eventuellement jeune en plissant des yeux, genre Alain Delon de loin. Mais plus vieux il ne tenait plus le choc, trop minot. Elvis c'est une belle gueule mais plus massive. Kurt Russel dans le téléfilm de John Carpenter m'avait plus convaincu en son temps. Tout comme une réalisation sobre par ailleurs. Parce que les fanfreluches de la mise en scène Luhrmann, ça écrase pas mal toute introspection du personnage.
C'est le genre de film qui défile sans véritable halte avant le décès pour clore le spectacle. Sans causer aucune empathie alors que j'ai plutôt de la sympathie pour le King. C'est trop artificiel. Même les débuts avec B.B. King ou Little Richard, ça ne faisait pas root. Mais comme tout ce que fait le cinéaste quoi. Son Paris de Moulin Rouge ne vaut rien. Il vaut mieux revoir French Cancan avec Gabin, etc...
Vu au cinoche à sa sortie, car je ne connaissais strictement rien à cette légende, mais pourtant attiré par son personnage (étant plutôt fan de rock, et de charisme en général), ce film m'avait laissé une très bonne impression bien que pendant son visionnage, je me souviens avoir tiqué sur certains défauts, ou manque.
Je le noterais après un 2eme visionnage prochain