Virilité de petits zizis
Suite à un profond désaccord entre la tête d'affiche de la saga FF, Vin Diesel, et l'acteur Dwayne Johnson, observé par le regard attentif des producteurs sentant poindre une occasion en or de gagner deux fois plus, le chef d'œuvre de délicatesse nommé "Hobbs and Show" sort dans nos salles.
Un buddy movie fortement inspiré de Tango et Cash d'Andreï Kontchalovski en 1989 (allant jusqu'à en pomper certaines scènes), MI:II de John Woo en 2000 et la série Los Angeles Heat en 1996.
Les têtes d'affiche, égales à elles-même, sont rejoints par Vanessa Kirby, visiblement très exaltée par les cascades de Tom Cruise lors de son passage dans MI:6 et Idris Elba dont la seule différence avec ses précédents films s'avère être ses costumes.
Le film, de par ses dialogues, est souvent très drôle mais s'imaginer les séances de brainstorming où les écrivains doivent travailler des textes du genre "Je vais t'enfoncer les dents si profond dans la gorge qu'il faudra que tu passes par ton cul pour aller les brosser !" est à mourir de rire.
Le gros problème du film, passé la première demi-heure d'exposition, est qu'au bout de 15 minutes, il n'a plus rien à offrir.
Contrairement à ses inspirations qui relançaient, via des twists l'intérêt du spectateur, apportant aux films une "sensation d'évoluer", celui-ci se contente inlassablement de tourner en rond en répétant la même formule dans des lieux différents: deux divas de l'action se disputent + bagarre.
A cela s'ajoute un clin d'œil assez malvenu à un précédent film de Jason Statham où sa partenaire de jeu n'était autre que Charlize Theron. Un moment gênant et brisant la suspension consentie de l'incrédulité.
Pour résumer, Hobbs and Show est un film qui essaie sans y parvenir.
Les réalisations de David Leitch confirment que son binôme sur John Wick, Chad Stahelski, était l'Alpha ; Dwayne Johnson n'atteindra jamais les cimes de la carrière de Schwarzenegger (Predator, Total Recall, Terminator 2: Judgment Day pour ne citer qu'eux) ; Universal, au vue du succès modeste au BO de son poulain, ne parviendra pas à réitérer le succès de la saga FF.
Un film qui ne laisse pas de traces. Agréable à regarder mais oublié dès que la lumière se rallume.
"Je vais te coller mon pied au cul si fort que tu vas cracher des lacets"
Suite à un profond désaccord entre la tête d'affiche de la saga FF, Vin Diesel, et l'acteur Dwayne Johnson, observé par le regard attentif des producteurs sentant poindre une occasion en or de gagner deux fois plus, le chef d'œuvre de délicatesse nommé "Hobbs and Show" sort dans nos salles.
Un buddy movie fortement inspiré de Tango et Cash d'Andreï Kontchalovski en 1989 (allant jusqu'à en pomper certaines scènes), MI:II de John Woo en 2000 et la série Los Angeles Heat en 1996.
Les têtes d'affiche, égales à elles-même, sont rejoints par Vanessa Kirby, visiblement très exaltée par les cascades de Tom Cruise lors de son passage dans MI:6 et Idris Elba dont la seule différence avec ses précédents films s'avère être ses costumes.
Le film, de par ses dialogues, est souvent très drôle mais s'imaginer les séances de brainstorming où les écrivains doivent travailler des textes du genre "Je vais t'enfoncer les dents si profond dans la gorge qu'il faudra que tu passes par ton cul pour aller les brosser !" est à mourir de rire.
Le gros problème du film, passé la première demi-heure d'exposition, est qu'au bout de 15 minutes, il n'a plus rien à offrir.
Contrairement à ses inspirations qui relançaient, via des twists l'intérêt du spectateur, apportant aux films une "sensation d'évoluer", celui-ci se contente inlassablement de tourner en rond en répétant la même formule dans des lieux différents: deux divas de l'action se disputent + bagarre.
A cela s'ajoute un clin d'œil assez malvenu à un précédent film de Jason Statham où sa partenaire de jeu n'était autre que Charlize Theron. Un moment gênant et brisant la suspension consentie de l'incrédulité.
Pour résumer, Hobbs and Show est un film qui essaie sans y parvenir.
Les réalisations de David Leitch confirment que son binôme sur John Wick, Chad Stahelski, était l'Alpha ; Dwayne Johnson n'atteindra jamais les cimes de la carrière de Schwarzenegger (Predator, Total Recall, Terminator 2: Judgment Day pour ne citer qu'eux) ; Universal, au vue du succès modeste au BO de son poulain, ne parviendra pas à réitérer le succès de la saga FF.
Un film qui ne laisse pas de traces. Agréable à regarder mais oublié dès que la lumière se rallume.
"Je vais te coller mon pied au cul si fort que tu vas cracher des lacets"
Il y a eu un petit plantage !
J'ai cassé forom.com ??
Pour ceux que ça intéressent, vous trouverez ci-dessous la critique de Hobbs and Show.
11/20
Virilité de petits zizis
Suite à un profond désaccord entre la tête d'affiche de la saga FF, Vin Diesel, et l'acteur Dwayne Johnson, observé par le regard attentif des producteurs sentant poindre une occasion en or de gagner deux fois plus, le chef d'?uvre de délicatesse nommé "Hobbs and Show" sort dans nos salles.
Un buddy movie fortement inspiré de Tango et Cash d'Andreï Kontchalovski en 1989 (allant jusqu'à en pomper certaines scènes), MI:II de John Woo en 2000 et la série Los Angeles Heat en 1996.
Les têtes d'affiche, égales à elles-même, sont rejoints par Vanessa Kirby, visiblement très exaltée par les cascades de Tom Cruise lors de son passage dans MI:6 et Idris Elba dont la seule différence avec ses précédents films s'avère être ses costumes.
Le film, de par ses dialogues, est souvent très drôle mais s'imaginer les séances de brainstorming où les écrivains doivent travailler des textes du genre "Je vais t'enfoncer les dents si profond dans la gorge qu'il faudra que tu passes par ton cul pour aller les brosser !" est à mourir de rire.
Le gros problème du film, passé la première demi-heure d'exposition, est qu'au bout de 15 minutes, il n'a plus rien à offrir.
Contrairement à ses inspirations qui relançaient, via des twists, l'intérêt du spectateur apportant aux films une "sensation d'évoluer", celui-ci se contente inlassablement de tourner en rond en répétant la même formule dans des lieux différents: deux divas de l'action se disputent + bagarre.
A cela s'ajoute un clin d'?il assez malvenu à un précédent film de Jason Statham où sa partenaire de jeu n'était autre que Charlize Theron. Un moment gênant et brisant la suspension consentie de l'incrédulité.
Pour résumer, Hobbs and Show est un film qui essaie sans y parvenir.
Les réalisations de David Leitch confirment que son binôme sur John Wick, Chad Stahelski, était l'Alpha ; Dwayne Johnson n'atteindra jamais les cimes de la carrière de Schwarzenegger (Predator, Total Recall, Terminator 2: Judgment Day pour ne citer qu'eux) ; Universal, au vue du succès modeste au BO de son poulain, ne parviendra pas à réitérer le succès de la saga FF.
Un film qui ne laisse pas de traces. Agréable à regarder mais oublié dès que la lumière se rallume.
Ces films ne m'ont jamais intéressé, c'est un pot pourri de tout ce que je n'aime pas dans les blockbusters US...
Au moins mon petit avis confirme ce que tu pense déjÃ
Au moins mon petit avis confirme ce que tu pense déjÃ
Oui, on sait jamais. Par erreur, ils auraient pu faire un bon film.
Et le pire, c'est que la voiture qui fait référence à ce film n'est pas le bon modèle... Donc référence bidon
Je partage totalement ton avis sur ce film. La dernière demi-heure (voire plus) est d'un ennui...
Par contre si vous aimez les films tendances fantastique/horreur et que vous en avez marre des Conjuring, je vous conseille Midsommar.
J'ai posté un petit avis dessus et c'est franchement une très bonne alternative au genre actuel