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Note moyenne de cet épisode: 15.0 / 20 (2)
Classement cette saison : 2
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lukahood 
15.0
15.0
Voilà qui se voit sans déplaisir, loin des rumeurs de tournage difficile ou de critiques US mitigées. Bon j'aimais beaucoup les Sons alors je ne refuse pas ce Mayans spin off des Sons. cela fait un moment que les Spin off ne me dérangent pas, après tout il y a bien Chicago Med, PD, Justice, etc.etc. Sutter est dans son élément, qu'il y reste. Russel a parfaitement décrit l'épisode que dire de plus ? Que l'interprétation est correcte et que j'ai envie de voir le second épisode ce qui est assez rare en ce moment pour le dire. C'est déjà pas mal. J'attendais pas des monts et merveilles de ce spin off, donc je suis plutôt satisfait, n'en demandons pas trop
russel
15.0
15.0
Mayans semble devoir démarrer là où on s'était arrêté sur les Sons. Sutter nous fait la transition en évoquant la mort de Jackson Teller via un corbeau crevé sur le bitume qui passe sous un pneu. Pour autant les Sons of Anarchy ne sont pas dissouts, ni même absents de ce spin off. Le gang intervient directement dans le récit en venant en aide aux Mayans. Ce n'est ni Tig, ni Chibs qui aura repris les commandes, mais Les Packer, du moins si j'ai bien reconnu Robert Patrick derrière ses Ray Ban, crédité dans le générique. De même on n'aura pas échappé au cameo de Katey Sagal. ‘Soupirs…' On ne saura pas ce que fabrique Gemma en visite en prison et limite j'espère que ce sera juste un clin d'œil (lourdingue). Pour le reste à l'exception de Marcus Alvarez bien évidemment, ce ne sera que des nouvelles têtes.
L'histoire se centre sur EZ qui serait une compilation de Jax (je suis une petite frappe mais je lis des livres) et de Juice (je suis une balance). Rien de très innovant sur la storyline, c'est la routine des gangs, qu'ils soient latinos n'influe que sur la bande son et la déco. Les Mayans ont les mêmes motos qui se traînent du cul, des blousons noirs, un QG, une table et un marteau pour acter les décisions. Bon là c'est un marteau de boucher, ce qui est stylé. On a juste cet apport un peu curieux des Olvidados, des jeunes rebelles mexicains qui se retournent contre les cartels. Ca introduit un peu de neuf et ça autorise à nuancer un peu les équipes et les enjeux. Et à générer des trahisons. Le pilote en lui-même est bien charpenté, tout est balancé sans laisser de trous d'air (nécessité de convaincre rapidement). Au bout du compte on comprend que EZ est promis à en baver un maximum du fait de sa position délicate. Le gars est un habitué des coïncidences qui défient les probabilités. Il faut le faire pour être l'ancien petit ami de la femme et mère de l'enfant du boss du cartel Galindo. Emily peut aimer les mauvais garçons mais bon, c'est arrangeant ou contrariant, selon. Idem, EZ comme par hasard tombe sur Adelita la leader des Olvidados lors d'un passage dans une ville mexicaine avant de la rencontrer officiellement à son QG plus tard. Small world, Sutter parfois utilise un gros marqueur pour rejoindre les points de son plan de route. Mais c'est ce qui fait aussi que sa saga s'articule spontanément alors qu'il y a tout de même un certain nombre de protagonistes à gérer. La série est de fait très accessible et hormis ces facilités, on sent que l'auteur est dans son élément (plus que dans le moyen âge).
Rien à redire sur l'interprétation. Pardo a une bonne présence et est à peu près street cred, ni trop jeune (il a déjà dégusté) mais pas encore une crevure invétérée non plus (rédemption envisageable). Ni trop typé latino d'ailleurs, curieusement moins que son frangin ou que son padre (Edward James Olmos), on sent qu'on a cherché le compromis au casting pour rester dans le cadre du héros hollywoodien.
Et donc en conclusion, ça se révèle raisonnablement prometteur par rapport à ce que je pouvais en attendre. Il y a risque de blaser, notamment au niveau des missions qui sont toujours un peu du même tonneau et qui renvoient au gaming genre Mafia ou GTA. Il faudra dépasser le simple quotidien du gang, mais je pense que ce sera le cas à priori.
L'histoire se centre sur EZ qui serait une compilation de Jax (je suis une petite frappe mais je lis des livres) et de Juice (je suis une balance). Rien de très innovant sur la storyline, c'est la routine des gangs, qu'ils soient latinos n'influe que sur la bande son et la déco. Les Mayans ont les mêmes motos qui se traînent du cul, des blousons noirs, un QG, une table et un marteau pour acter les décisions. Bon là c'est un marteau de boucher, ce qui est stylé. On a juste cet apport un peu curieux des Olvidados, des jeunes rebelles mexicains qui se retournent contre les cartels. Ca introduit un peu de neuf et ça autorise à nuancer un peu les équipes et les enjeux. Et à générer des trahisons. Le pilote en lui-même est bien charpenté, tout est balancé sans laisser de trous d'air (nécessité de convaincre rapidement). Au bout du compte on comprend que EZ est promis à en baver un maximum du fait de sa position délicate. Le gars est un habitué des coïncidences qui défient les probabilités. Il faut le faire pour être l'ancien petit ami de la femme et mère de l'enfant du boss du cartel Galindo. Emily peut aimer les mauvais garçons mais bon, c'est arrangeant ou contrariant, selon. Idem, EZ comme par hasard tombe sur Adelita la leader des Olvidados lors d'un passage dans une ville mexicaine avant de la rencontrer officiellement à son QG plus tard. Small world, Sutter parfois utilise un gros marqueur pour rejoindre les points de son plan de route. Mais c'est ce qui fait aussi que sa saga s'articule spontanément alors qu'il y a tout de même un certain nombre de protagonistes à gérer. La série est de fait très accessible et hormis ces facilités, on sent que l'auteur est dans son élément (plus que dans le moyen âge).
Rien à redire sur l'interprétation. Pardo a une bonne présence et est à peu près street cred, ni trop jeune (il a déjà dégusté) mais pas encore une crevure invétérée non plus (rédemption envisageable). Ni trop typé latino d'ailleurs, curieusement moins que son frangin ou que son padre (Edward James Olmos), on sent qu'on a cherché le compromis au casting pour rester dans le cadre du héros hollywoodien.
Et donc en conclusion, ça se révèle raisonnablement prometteur par rapport à ce que je pouvais en attendre. Il y a risque de blaser, notamment au niveau des missions qui sont toujours un peu du même tonneau et qui renvoient au gaming genre Mafia ou GTA. Il faudra dépasser le simple quotidien du gang, mais je pense que ce sera le cas à priori.
L'épisode n'a pas encore de sous titres français il faudra attendre un peu pour le voir mais ce n'est pas mauvais si je te lis.
cette version latinos de sons of anarchy peut donner du bon