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Note moyenne de cet épisode: 8.0 / 20 (1)
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russel 
8.0
8.0
Je savais à la base que ça allait parler de cascadeurs, mais n'ayant pas trop prêté attention au bidule, je n'avais pas capté que Ryan Gosling reprenait le rôle de Lee Majors dans la série L'Homme qui tombe à Pic. Bon sang mais ça n'a tellement rien à voir.
Certes on n'est plus à la même époque, mais le souci c'est surtout Hollywood. Il faut vraiment qu'ils arrêtent de regarder dans le rétro pour massacrer tout ce qui est parvenu à obtenir un peu de notoriété. Je crois qu'ils ne sont plus en état d'innover, ils sont cramés les ricains.
Il y avait un minimum d'authenticité dans la série originale, le personnage de Lee Majors était ancré dans la culture populaire. Là on a Gosling toujours en mode toy boy façon Ken qui se fait mettre la misère par sa copine, une réalisatrice qui parle beaucoup pour ne rien dire et dont l'aboutissement de la carrière est de filmer un plagia de Rebel Moon. Les marivaudages sont dignes d'ados de 13 ans et le reste est d'une indigence crasse et tente d'aligner des cascades dispensables, sur roue, dans les airs, en baston façon épreuves de décathlon. Absolument tout est énervant tant le manque d'inspiration est vaste. C'est truffé de citations à d'autres oeuvres (L'homme qui valait 3 milliards, Miami Vice) et de covers musicales (de Kiss) plus ou moins douteuses. Il n'y a plus de création, il n'y a que de l'amalgamation et de la recombinaison du déjà existant, comme le fait une IA après avoir aspiré tout ce qui traine sur le web.
Certes on n'est plus à la même époque, mais le souci c'est surtout Hollywood. Il faut vraiment qu'ils arrêtent de regarder dans le rétro pour massacrer tout ce qui est parvenu à obtenir un peu de notoriété. Je crois qu'ils ne sont plus en état d'innover, ils sont cramés les ricains.
Il y avait un minimum d'authenticité dans la série originale, le personnage de Lee Majors était ancré dans la culture populaire. Là on a Gosling toujours en mode toy boy façon Ken qui se fait mettre la misère par sa copine, une réalisatrice qui parle beaucoup pour ne rien dire et dont l'aboutissement de la carrière est de filmer un plagia de Rebel Moon. Les marivaudages sont dignes d'ados de 13 ans et le reste est d'une indigence crasse et tente d'aligner des cascades dispensables, sur roue, dans les airs, en baston façon épreuves de décathlon. Absolument tout est énervant tant le manque d'inspiration est vaste. C'est truffé de citations à d'autres oeuvres (L'homme qui valait 3 milliards, Miami Vice) et de covers musicales (de Kiss) plus ou moins douteuses. Il n'y a plus de création, il n'y a que de l'amalgamation et de la recombinaison du déjà existant, comme le fait une IA après avoir aspiré tout ce qui traine sur le web.
