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Note moyenne de cet épisode: 13.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 11
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russel 
13.0
13.0
J'avais lâché la saison sur une sale impression avec un final trop approximatif et j'ai ré-embarqué sur ce second service sans trop d'entrain et en ayant oublié facilement la moitié des éléments, dont Hazel qui est évacué façon bâclage ainsi que The Commission.
Donc bien évidemment les personnages échappent tous à l'apocalypse déclenché par Vanya via l'astuce du saut temporel. Ca nous vaut une saison qui s'installe sous le signe du Back to the Future avec une thématique sixties. Ca renouvelle un peu même si c'est déjà vu. Il y a une ouverture assez fracassante avec une scène quasi Avengers durant laquelle on voit les académiciens se friter en pleine disposition de leurs moyens avec du russe avant un nouvel apocalypse. C'est assez réjouissant encore que la scène de baston restreinte à une ruelle fait un peu étriquée. Pas de gros changement dans le procédé, on nous recolle une fin du monde en guise de ligne d'arrivée. A priori il conviendra de réunir la famille éparpillée pour parvenir à éviter le pire. Si Number Five a commencé à recoller les morceaux, ça nous vaut pas mal de segments séparé pas nécessairement captivants. Mon préféré restant celui de Diego à l'asile vu qu'il doit déjà se coltiner les méchants. Méchants lookés aryens plutôt sympas, surtout le leader assez épatant dans son côté imperturbable. C'est important d'avoir des vilains qui ont de la présence.
J'espère qu'on ne va pas nous gaver trop longtemps avec des machins basés sur l'anachronisme et autre paradoxe temporel (sauver Kennedy). Il est évident que l'apocalypse suit les héros qui semblent fatalement l'engendrer où (quand) ils passent, donc le souci est vraiment situé à leur niveau.
Donc bien évidemment les personnages échappent tous à l'apocalypse déclenché par Vanya via l'astuce du saut temporel. Ca nous vaut une saison qui s'installe sous le signe du Back to the Future avec une thématique sixties. Ca renouvelle un peu même si c'est déjà vu. Il y a une ouverture assez fracassante avec une scène quasi Avengers durant laquelle on voit les académiciens se friter en pleine disposition de leurs moyens avec du russe avant un nouvel apocalypse. C'est assez réjouissant encore que la scène de baston restreinte à une ruelle fait un peu étriquée. Pas de gros changement dans le procédé, on nous recolle une fin du monde en guise de ligne d'arrivée. A priori il conviendra de réunir la famille éparpillée pour parvenir à éviter le pire. Si Number Five a commencé à recoller les morceaux, ça nous vaut pas mal de segments séparé pas nécessairement captivants. Mon préféré restant celui de Diego à l'asile vu qu'il doit déjà se coltiner les méchants. Méchants lookés aryens plutôt sympas, surtout le leader assez épatant dans son côté imperturbable. C'est important d'avoir des vilains qui ont de la présence.
J'espère qu'on ne va pas nous gaver trop longtemps avec des machins basés sur l'anachronisme et autre paradoxe temporel (sauver Kennedy). Il est évident que l'apocalypse suit les héros qui semblent fatalement l'engendrer où (quand) ils passent, donc le souci est vraiment situé à leur niveau.
Pas vu la saison 1, les critiques sont assez mitigées, le fond a l'air intéressant, mais la forme dessert un peu l'ensemble.
J'ai vu récemment "the boys" qui apporte de la fraîcheur à ce genre qui ne passe pas très bien à la télé (à part les agents du shield, qui a mis la barre très haute, et qui hélas se termine très bientôt, il va y avoir un sacré manque.
J'ai eu un peu de mal à arriver au bout de la saison 1 d'Umbrella, sauvée par un ou deux acteurs qui tiennent la série à bout de bras... Je vais tenter la saison 2 mais je ne suis pas loin d'avoir l'entrain comme si j'allais me refaire un épisode de Jessica Jones!
Par contre, la saison 2 de "The Boys", je suis au taquet!
Angeldusta :
Jessica Jones !!!!
Dans Umbrella tous les personnages ne se valent pas, certains passent leur temps à prendre le chou avec des problèmes perso assez secondaires. Et pourtant il y a de belles idées, ça délire bien parfois. Mais à d'autres moments on sent qu'on respecte plus le cahier de charge de la chaîne que celui de l'auteur.