Belle petite découverte que cette première saison d'Evil dont je n'avais pas ou très peu entendu parler. Déjà la gros point fort c'est le casting que je trouve assez parfait. Chaque acteur campe très bien son personnage et c'est un réel plaisir que de retrouver Michael Emerson dans la peau d'un "méchant".
Naviguant entre le religieux, le paranormal, le psychotique et le psychiatrique, Evil arrive à maintenir son téléspectateur en haleine sur ses 13 épisodes de par une construction narrative intelligente. Alors qu'on se dit après quelques aventures qu'on a affaire à une classique série de stand-alone ponctués d'une mince ligne rouge, il s'avère qu'il en est tout autre : tout s'emboîte pour ne finalement former qu'une seule et même histoire de démons. Il y a du rythme, du suspens, des instants comédie et cette angoisse légère qui fait le charme de cette série.
La bonne nouvelle, c'est que la série est renouvelée pour une saison 2 par CBS après seulement 4 épisodes diffusés. On a donc hâte de savoir où toute cette hiérarchisation des démons affrontant une Task-Force du Vatican va mener.
Naviguant entre le religieux, le paranormal, le psychotique et le psychiatrique, Evil arrive à maintenir son téléspectateur en haleine sur ses 13 épisodes de par une construction narrative intelligente. Alors qu'on se dit après quelques aventures qu'on a affaire à une classique série de stand-alone ponctués d'une mince ligne rouge, il s'avère qu'il en est tout autre : tout s'emboîte pour ne finalement former qu'une seule et même histoire de démons. Il y a du rythme, du suspens, des instants comédie et cette angoisse légère qui fait le charme de cette série.
La bonne nouvelle, c'est que la série est renouvelée pour une saison 2 par CBS après seulement 4 épisodes diffusés. On a donc hâte de savoir où toute cette hiérarchisation des démons affrontant une Task-Force du Vatican va mener.
Bonne surprise que cette série qui a su rester sur le fil entre l'irréel et le réel : on ne sait jamais trop si ce que l'on voit est un rêve (cauchemard plutôt !), de l'imagination, de la folie, un trucage, de la simulation ou un miracle, une apparition "divine"...
Les premiers épisodes démarrent comme un procédural avec l'enquête de la semaine mais on se rend vite compte d'un fil rouge qui prend vite plus de place jusqu'à être l'intrigue principale.
Mike Colter s'en sort très bien dans ce personnage plutôt en contre emploi par rapport à ses précédentes incarnations.
Je serais là pour la saison prochaine, d'autant que le final nous laisse en pleine interrogation !
Les premiers épisodes démarrent comme un procédural avec l'enquête de la semaine mais on se rend vite compte d'un fil rouge qui prend vite plus de place jusqu'à être l'intrigue principale.
Mike Colter s'en sort très bien dans ce personnage plutôt en contre emploi par rapport à ses précédentes incarnations.
Je serais là pour la saison prochaine, d'autant que le final nous laisse en pleine interrogation !
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