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Note moyenne de cet épisode: 15.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 1
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russel 
15.0
15.0
Gros épisode que ce Call Me Red dans la mesure où il tire à plus de 60 mn, ce qui n'est pas la norme pour Dexter. En même temps on y introduit pas mal d'éléments tout en continuant de front à en poursuivre d'autres. Ca montre qu'il y a de la matière à proposer au delà du démarrage poussif de la saison. Maintenant que le raccord avec New Blood est passé, ça file un peu mieux.
Et pourtant cette histoire de club de serial killer n'était pas évidente au départ. Je ne suis pas totalement conquis, ça me parait un peu trop artificiel dans le cadre de la franchise. Mais ça passe finalement. Il y a un aspect thématique assez sympa avec le fait que Leon Prater collection les trophées des serial killers quand les serial killers sont les trophées de Dexter. Et que la collection de Dexter soit placé dans le panthéon de Prater. Forcément Dexter se retrouve avec un accès facile à toute une bande de gogols sanguinaires sans avoir à chercher. Mais en a t-il réellement besoin? Habituellement ils les localise assez rapidement dans une ville (preuve en est que l'Impostor est déjà occis). Là il s'expose à de grosses complications. Au moins on a du cast sympa. Ca me fait rigoler de retrouver encore David Dastmalchian dans un rôle sinistre alors que je viens de le quitter dans Murderbot. J'ai quand même trouvé un peu gros que Uma sache où était situé l'appart de Red mais ignorait tout de son apparence physique, elle l'a forcément surveillé.
La partie de cache cache avec Harrison devenait un peu longuette, sachant que la relation père fils est un moteur du projet. Et ils finissent par les réunir en cliff. Bonne chose. Etrange que Batista ne balance pas à Harrison quand il le cuisine que son père est vivant ceci étant dit. Ils réussissent à scotcher Batista avec la fliquette Staying Alive, ils vont faire une belle paire de boulets. Ca peut promettre de bien compliquer la vie à Dexter dans son projet de retirer les membres du club de psychos des rues de NY. A voir comment la disparition de Lowell est gérée lors de la prochaine réunion.
Et pourtant cette histoire de club de serial killer n'était pas évidente au départ. Je ne suis pas totalement conquis, ça me parait un peu trop artificiel dans le cadre de la franchise. Mais ça passe finalement. Il y a un aspect thématique assez sympa avec le fait que Leon Prater collection les trophées des serial killers quand les serial killers sont les trophées de Dexter. Et que la collection de Dexter soit placé dans le panthéon de Prater. Forcément Dexter se retrouve avec un accès facile à toute une bande de gogols sanguinaires sans avoir à chercher. Mais en a t-il réellement besoin? Habituellement ils les localise assez rapidement dans une ville (preuve en est que l'Impostor est déjà occis). Là il s'expose à de grosses complications. Au moins on a du cast sympa. Ca me fait rigoler de retrouver encore David Dastmalchian dans un rôle sinistre alors que je viens de le quitter dans Murderbot. J'ai quand même trouvé un peu gros que Uma sache où était situé l'appart de Red mais ignorait tout de son apparence physique, elle l'a forcément surveillé.
La partie de cache cache avec Harrison devenait un peu longuette, sachant que la relation père fils est un moteur du projet. Et ils finissent par les réunir en cliff. Bonne chose. Etrange que Batista ne balance pas à Harrison quand il le cuisine que son père est vivant ceci étant dit. Ils réussissent à scotcher Batista avec la fliquette Staying Alive, ils vont faire une belle paire de boulets. Ca peut promettre de bien compliquer la vie à Dexter dans son projet de retirer les membres du club de psychos des rues de NY. A voir comment la disparition de Lowell est gérée lors de la prochaine réunion.
