Critique du C'est assez !!
A tous ceux qui lisent cette critique. C'est un SOS du Pathé Bellecour de Lyon.
Mon cerveau s'est enfui de ma boîte crânienne à la fin de la séance en me traitant d'irresponsable. Je ne peux plus bouger.
N'attendant pourtant rien de ce type de film, celui-ci est, malgré tout, un spectaculaire ratage dénonçant une industrie franchissant un cap dans le "je-m'en-foutisme" de la fabrication de ses produits.
Une ode malhonnête au fan service n'étant qu'un vulgaire nuage de sauterelles destiné à masquer la vacuité du scénario.
La fin de Fallen Kingdom, second film appréciable de cette trilogie, était une porte ouverte sur la communion entre les dinosaures et l'espèce humaine.
Un postulat plutôt excitant qui avait pour but de relever une sauce devenue fade du fait de ses multiples exploitations cinématographiques.
Après un rappel de 5 minutes sur ladite situation, le film s'en battra les couilles à coup de cactus sur les 2h20 restantes et partira dans une direction confinant au navet sur pellicule.
Au menu avec des petits spoilers: un salopard... ein grosse salopppaaarrrrddddd a commis une erreur qui va condamner l'espèce humaine et va nier sa responsabilité (et ne rien faire aussi !). Le rapport avec les dinosaures ? Prout ! Rien compris. Il faudrait revoir le film mais j'ai arrêté le sado-masochisme avec mes études et ma sociabilité.
L'objectif primaire de cette mélasse alambiquée comportant des services secrets français (Repose en paix Omar Sy ! Tu étais un bon acteur !), du marché noir de dinosaures à Malte, un méchant qui fait des gestes avec ces bras et tape une chaise quand il est pas content ("Peut-être imite-t-il un dinosaure ?" cf. Un inconnu partageant mon supplice !), est de faire rencontrer les fossiles de la 1e trilogie et les concombres de la seconde.
"Vous êtes Alan Grant !". "Et vous êtes le dresseur de Raptor !": un dialogue rondement mené au sein d'un climax (dans une pièce sombre avec une lumière triste !) qui fera probablement sauter les braguettes.
Le plaisir de retrouver les personnages de notre enfance serait intact si la réalisation était à la hauteur de l'événement.
Surprise ! Le réalisateur, de titre uniquement, Colin Trevorrow, a régressé au rang de tâcheron voire de criminel du 7e art avec son compère Jon Watts, caméraman amateur de "Spiderman Far From Home".
Filmant les péripéties de ses héros (complètement cons au demeurant comme au demeuré) STOP !
Chris Pratt court sur un lac gelé poursuivi par un dinosaure à plumes qui veut son Big Mac. Un petit trou est devant Chris Pratt.
Solution 1: Chris Pratt contourne le petit trou en courant.
Solution 2: Chris Pratt saute au dessus du petit trou et, comme il est gros le Chris, il pète la glace et se trouve dans l'eau glacée.
Je reprends.
Filmant les péripéties de ses héros (complètement cons au demeurant comme au demeuré), Fernand Trepied de son état, se prendra constamment les pieds dans le tapis de son exécrable réalisation, confondant rythme et précipitation et ne parviendra jamais à glorifier ni ses acteurs ni ses bêtes (à l'exception d'un dinosaure aveugle, maigre consolation !).
Un rendez-vous manqué entre des acteurs désinvestis par la bêtise de leur script et ne venant probablement que récupérer leur chèques pour payer leur tiers provisionnel ou éviter de finir dans des hôtels masochistes et criminels appelés EHPAD.
Pour résumer, ce film est un doigt d'honneur de l'industrie hollywoodienne au public se reposant sur sa marque jurassique pour vendre du caca en masse. Un film a éviter d'urgence pour l'amour du 7e art.
Malcolm avait raison: comme la vie, j'ai pu trouver mon chemin pour rentrer chez moi.
Cependant, il avait raison sur un autre point aussi: "C'est vraiment un gros tas de merde !".
A tous ceux qui lisent cette critique. C'est un SOS du Pathé Bellecour de Lyon.
Mon cerveau s'est enfui de ma boîte crânienne à la fin de la séance en me traitant d'irresponsable. Je ne peux plus bouger.
N'attendant pourtant rien de ce type de film, celui-ci est, malgré tout, un spectaculaire ratage dénonçant une industrie franchissant un cap dans le "je-m'en-foutisme" de la fabrication de ses produits.
Une ode malhonnête au fan service n'étant qu'un vulgaire nuage de sauterelles destiné à masquer la vacuité du scénario.
La fin de Fallen Kingdom, second film appréciable de cette trilogie, était une porte ouverte sur la communion entre les dinosaures et l'espèce humaine.
Un postulat plutôt excitant qui avait pour but de relever une sauce devenue fade du fait de ses multiples exploitations cinématographiques.
Après un rappel de 5 minutes sur ladite situation, le film s'en battra les couilles à coup de cactus sur les 2h20 restantes et partira dans une direction confinant au navet sur pellicule.
Au menu avec des petits spoilers: un salopard... ein grosse salopppaaarrrrddddd a commis une erreur qui va condamner l'espèce humaine et va nier sa responsabilité (et ne rien faire aussi !). Le rapport avec les dinosaures ? Prout ! Rien compris. Il faudrait revoir le film mais j'ai arrêté le sado-masochisme avec mes études et ma sociabilité.
L'objectif primaire de cette mélasse alambiquée comportant des services secrets français (Repose en paix Omar Sy ! Tu étais un bon acteur !), du marché noir de dinosaures à Malte, un méchant qui fait des gestes avec ces bras et tape une chaise quand il est pas content ("Peut-être imite-t-il un dinosaure ?" cf. Un inconnu partageant mon supplice !), est de faire rencontrer les fossiles de la 1e trilogie et les concombres de la seconde.
"Vous êtes Alan Grant !". "Et vous êtes le dresseur de Raptor !": un dialogue rondement mené au sein d'un climax (dans une pièce sombre avec une lumière triste !) qui fera probablement sauter les braguettes.
Le plaisir de retrouver les personnages de notre enfance serait intact si la réalisation était à la hauteur de l'événement.
Surprise ! Le réalisateur, de titre uniquement, Colin Trevorrow, a régressé au rang de tâcheron voire de criminel du 7e art avec son compère Jon Watts, caméraman amateur de "Spiderman Far From Home".
Filmant les péripéties de ses héros (complètement cons au demeurant comme au demeuré) STOP !
Chris Pratt court sur un lac gelé poursuivi par un dinosaure à plumes qui veut son Big Mac. Un petit trou est devant Chris Pratt.
Solution 1: Chris Pratt contourne le petit trou en courant.
Solution 2: Chris Pratt saute au dessus du petit trou et, comme il est gros le Chris, il pète la glace et se trouve dans l'eau glacée.
Je reprends.
Filmant les péripéties de ses héros (complètement cons au demeurant comme au demeuré), Fernand Trepied de son état, se prendra constamment les pieds dans le tapis de son exécrable réalisation, confondant rythme et précipitation et ne parviendra jamais à glorifier ni ses acteurs ni ses bêtes (à l'exception d'un dinosaure aveugle, maigre consolation !).
Un rendez-vous manqué entre des acteurs désinvestis par la bêtise de leur script et ne venant probablement que récupérer leur chèques pour payer leur tiers provisionnel ou éviter de finir dans des hôtels masochistes et criminels appelés EHPAD.
Pour résumer, ce film est un doigt d'honneur de l'industrie hollywoodienne au public se reposant sur sa marque jurassique pour vendre du caca en masse. Un film a éviter d'urgence pour l'amour du 7e art.
Malcolm avait raison: comme la vie, j'ai pu trouver mon chemin pour rentrer chez moi.
Cependant, il avait raison sur un autre point aussi: "C'est vraiment un gros tas de merde !".
Ce film est une insulte à la gueule des spectateurs. Tu es encore trop bon dans la note
Grand amateur des 2 premiers, plus septique sur les 2 de Chris prat, et grand déçu du 3eme de la 1ere trilogie. La logique serait donc respectée :
Trilogie 1
- film 1 : excellent
- film 2 : très bien
- film 3 : mediocre /nul
Trilogie 2
- film 1 : bien
- film 2 : moyen
- film 3 : bouse ^^
Au moins la bande annonce a été bien faite, puisqu'on devine le navet rien qu'en la regardant. Aucune surprise (genre comme sur le dernier spiderman), puisque tout y est révélé.
Après il faut être un peu maso pour s'infliger ça... :-D
J'ai malgré moi vu le Falling Kingdom récemment (parce que je le projetais) et j'ai trouvé ce truc, que je ne qualifierais pas de film, de bouse intersidérale. Alors je n'imagine même pas celui-ci, même le trailer est pourri.